exemple de dissertation juridique sur le mariage

  • Fiches d’introduction au droit
  • Fiches de droit constitutionnel
  • Fiches d’introduction historique au droit
  • Fiches de droit des personnes
  • Fiches de droit de la famille
  • Fiches de droit des contrats
  • Fiches de droit administratif
  • Fiches de droit pénal
  • Fiches de responsabilité civile
  • Fiches de droit de l’Union européenne
  • Fiches de régime général des obligations
  • Fiches de procédure civile
  • Fiches de droit des biens
  • Fiches de droit commercial
  • Fiches de droit commun des sociétés
  • Fiches de droit des contrats spéciaux
  • Fiches de droit international public
  • Méthodologie
  • Introduction au droit
  • Droit constitutionnel
  • Introduction historique au droit
  • Droit des personnes
  • Droit de la famille
  • Droit des contrats
  • Droit administratif
  • Droit pénal
  • Responsabilité civile
  • Droit de l’Union européenne
  • Régime général des obligations
  • Procédure civile
  • Droit des biens
  • Droit commercial
  • Droit des sociétés
  • Contrats spéciaux
  • Droit international public

Exemple de dissertation juridique rédigée

Par Maxime Bizeau, Avocat de formation, diplômé de l'école d'avocats du Barreau de Paris

Exemple de dissertation juridique

Connaître la méthodologie de la dissertation juridique , c’est bien. Mais avoir un exemple de dissertation juridique entièrement rédigée, c’est encore mieux !

C’est tout l’intérêt de cet article. Vous trouverez ci-dessous un exemple de dissertation juridique pour le sujet suivant : « Chacun a droit au respect de sa vie privée ».

Le but est de vous aider à comprendre à quoi doit ressembler une dissertation juridique et comment il faut rédiger sa dissertation.

Vous remarquerez également, à travers l’exemple de dissertation ci-dessous, que la dissertation est bien un exercice de démonstration (et pas un simple recopiage du cours).

Sans plus attendre, c’est parti pour la dissertation !

A l’ère de la presse people , d’Internet et des réseaux sociaux, le droit au respect de la vie privée est régulièrement mis à mal. Pourtant, depuis la loi du 17 juillet 1970 tendant à renforcer la garantie des droits individuels des citoyens, l’article 9 du Code civil énonce en son premier alinéa que « chacun a droit au respect de sa vie privée » .

En réalité, la consécration en droit français du droit au respect de la vie privée a été relativement tardive. Avant la loi du 17 juillet 1970, aucune disposition législative ne protégeait explicitement le droit au respect de la vie privée. En matière d’atteintes à la vie privée, les juges se servaient de l’ancien article 1382 du Code civil (aujourd’hui article 1240 du Code civil), qui nécessitait de prouver une faute, un dommage et le lien de causalité entre les deux. L’ancien article 1382 s’est toutefois révélé insuffisant pour sanctionner efficacement les atteintes à la vie privée. En particulier, les atteintes les plus graves ne pouvaient être sanctionnées pénalement (les juges ne pouvant pas créer d’infractions). Sous l’impulsion de la doctrine, le législateur est alors intervenu et la loi du 17 juillet 1970 a consacré le droit au respect de la vie privée à l’article 9 du Code civil.

Il n’est donc plus nécessaire, comme c’était le cas avant la loi du 17 juillet 1970, de prouver une faute pour que soit sanctionnée l’atteinte à la vie privée. En vertu de l’article 9 du Code civil, chaque individu a le droit au respect de sa vie privée. Le droit au respect de la vie privée est un véritable droit de la personnalité, dont toute personne physique est titulaire. Dès lors, la simple violation de la vie privée d’une personne est sanctionnable. Cette violation est caractérisée par une immixtion dans la vie privée d’une personne sans autorisation préalable.

Aujourd’hui, le droit au respect de la vie privée constitue un principe fondamental en droit français. Outre l’article 9 du Code civil, il est protégé par d’autres textes. A titre d’exemple, l’article 226-1 du Code pénal sanctionne le fait de porter volontairement atteinte à l’intimité de la vie privée d’autrui en captant, enregistrant ou transmettant, sans le consentement de leur auteur, des paroles prononcées à titre privé ou confidentiel, ou en fixant, enregistrant ou transmettant, sans le consentement de celle-ci, l’image d’une personne se trouvant dans un lieu privé. Par ailleurs, le domaine de la vie privée ne cesse d’être étendu par la jurisprudence, qui, ce faisant, donne une importance croissante au droit au respect de la vie privée. Enfin, le droit au respect de la vie privée est également consacré en droit international.

On peut toutefois remarquer que le droit au respect de la vie privée peut entrer en conflit avec d’autres droits et libertés, comme la liberté d’expression, la liberté de la presse et le droit à l’information du public. Dans ce genre de situations, les juges devront rechercher un équilibre, et « privilégier la solution la plus protectrice de l’intérêt le plus légitime » (Cass. Civ. 1ère, 9 juillet 2003). Dès lors, le droit au respect de la vie privée pourra être relégué au second plan si le droit avec lequel il entre en opposition mérite davantage d’être protégé.

La question se pose donc de savoir si le droit au respect de la vie privée est absolu ou s’il comporte des limites.

En réalité, si le droit au respect de la vie privée a été consacré comme un principe général (I), il n’en demeure pas moins qu’il est assorti d’un certain nombre de limites (II).

I) Le principe général du droit au respect de la vie privée

Le droit au respect de la vie privée est consacré aussi bien en droit interne qu’en droit communautaire et international, et protège tous les individus (A). En outre, le domaine d’application du droit au respect de la vie privée est large et est régulièrement étendu par la jurisprudence (B).

A) La consécration générale du droit au respect de la vie privée

Ainsi que nous l’avons mentionné plus haut, l’article 9 du Code civil dispose que « chacun a droit au respect de sa vie privée » .

Ce principe a valeur constitutionnelle. En effet, si le droit au respect de la vie privée est absent de la Constitution de 1958 et du préambule de la Constitution de 1946, il a progressivement été consacré par la jurisprudence du Conseil Constitutionnel. Ainsi, dans une décision n° 94-352 DC du 18 janvier 1995, le Conseil Constitutionnel affirmait déjà que «  la méconnaissance du droit au respect de la vie privée peut être de nature à porter atteinte à la liberté individuelle ».  Plus tard, dans une décision n° 99-416 DC du 23 juillet 1999, le Conseil Constitutionnel rattachera le droit au respect de la vie privée à l’article 2 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 qui inclut la liberté au sein des droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Aujourd’hui, le Conseil Constitutionnel n’hésite pas à préciser que la liberté proclamée par cet article « implique le respect de la vie privée » (Cons. const., 30 mars 2012, n° 2012-227 QPC) ou que le droit au respect de la vie privée est protégé par l’article 2 de la Déclaration de 1789 (Cons. const., 25 mars 2014, n° 2014-693).

Le droit au respect de la vie privée a également été consacré par la jurisprudence. On peut citer le célèbre arrêt de la première chambre civile de la Cour de cassation en date du 23 octobre 1990, selon lequel «  toute personne, quels que soient son rang, sa naissance, sa fortune, ses fonctions présentes ou à venir, a droit au respect de sa vie privée ».

Enfin, le droit au respect de la vie privée fait l’objet d’une consécration en droit communautaire et international. Il figure à l’article 7 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne ( « Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de ses communications » ). On le retrouve également à l’article 8 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme selon lequel « toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance » , ou encore à l’article 12 de la Déclaration universelle des droits de l’homme ( « Nul ne sera l’objet d’immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni d’atteintes à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes. ») .

A travers l’ensemble de ces formulations, on remarque que le droit au respect de la vie privée s’applique à « chacun » , à « toute personne » . Il est consacré comme un droit qui protège tous les individus.

Non seulement le droit au respect de la vie privée a été consacré comme un droit à portée générale, mais son domaine d’application ne cesse de s’étendre.

B) L’extension continue du domaine de la vie privée

La loi ne donne pas de définition de la notion de vie privée. Dès lors, le domaine de la vie privée a été précisé par la jurisprudence, qui en a progressivement étendu les contours.

Aujourd’hui, la vie privée englobe le domicile (Cass. Civ. 2 ème , 5 juin 2003 : la publication dans la presse de la photographie de la résidence d’une personne, avec le nom du propriétaire et sa localisation, constitue une atteinte à la vie privée de cette personne), la religion (Cass. Civ. 1 ère , 6 mars 2001), la sexualité, l’orientation sexuelle (CEDH, 25 mars 1992, Botella c/ France : le refus de retranscrire un changement de sexe à l’état civil est une atteinte à la vie privée), la vie sentimentale, étant entendu que cette notion englobe toutes les relations affectives (Cass. Civ. 1 ère , 6 oct. 1998 : la diffusion d’une lettre confidentielle dont l’objet était de révéler une situation de concubinage représente une atteinte au droit au respect de la vie privée), ou encore l’état de santé (CA Paris, ord. réf., 13 mars 1996 : la révélation par un médecin d’éléments couverts par le secret médical constitue une atteinte à la vie privée du patient).

On peut également citer les correspondances. A ce titre, l’article 7 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, l’article 8 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme et l’article 12 de la Déclaration universelle des droits de l’homme sont clairs puisqu’ils mentionnent explicitement que toute personne a droit au secret de ses correspondances. Ce principe a été renforcé par la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l’homme, qui sanctionne sur le fondement de l’article 8 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme la violation des correspondances (CEDH, 2 août 1984, Malone c/ Royaume-Uni). En outre, le secret des correspondances s’applique, en plus des communications écrites et téléphoniques, aux communications électroniques (TGI Paris, 2 nov. 2000 : « l’envoi de messages électroniques de personne à personne constitue de la correspondance privée » ).

On pourrait encore citer la protection des données personnelles, qui a été renforcée par l’entrée en vigueur, le 25 mai 2018, du Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD).

Il est donc clair que le domaine de la vie privée, et donc le champ d’application du droit au respect de la vie privée, est vaste.

La portée du droit au respect de la vie privée est donc particulièrement générale. Le droit au respect de la vie privée concerne tous les individus et a vocation à s’appliquer dans de nombreuses situations (I). Toutefois, le droit au respect de la vie privée n’est pas un droit absolu. Son application se verra parfois contrecarrée par un certain nombre de limites (II).

II) Les limites du droit au respect de la vie privée

Le droit au respect de la vie privée ne prime pas toujours sur les autres droits et libertés avec lesquels il entre en conflit. Dans ce genre de cas, son application pourra se voir limitée (A). Par ailleurs, le droit au respect de la vie privée est également limité par le régime de preuve et les sanctions des atteintes à la vie privée (B).

A) Les autres droits et libertés opposés au droit au respect de la vie privée

Le droit au respect de la vie privée peut se voir limité par différents droits et libertés.

En premier lieu, le droit au respect de la vie privée doit se concilier avec la liberté d’expression, la liberté de la presse et le droit à l’information du public. En principe, le premier prime sur les autres ; le droit à l’information ne justifie pas la publication d’éléments relevant de la vie privée. Mais cette primauté cède dans le cas des personnes publiques quand elles sont en public dans l’exercice de leur activité (un sportif pendant un évènement sportif, un acteur pendant une soirée de remise des prix…). Ainsi, l’application du droit au respect de la vie privée est écartée si la publication, bien que révélatrice d’une relation sentimentale, porte sur un événement public (Cass. Civ. 1 ère , 1 er  mars 2017). De même, la publication d’informations relatives à l’existence d’un enfant naturel du Prince Albert de Monaco ne constitue pas une atteinte à la vie privée de ce dernier en raison du caractère héréditaire de ses fonctions de chef d’État (CEDH, 10 nov. 2015, Couderc et Hachette Filipacchi Associés c/ France, n o 40454/07).

En second lieu, le droit au respect de la vie privée peut parfois être limité dans le cadre de la sphère professionnelle. Ainsi, l’employeur a le droit de s’immiscer dans la vie privée de ses employés à certains égards. Il pourra par exemple imposer à ses employés une tenue vestimentaire (Cass. soc., 28 mai 2003). De même, les dossiers et fichiers créés par un salarié à l’aide de son ordinateur de travail sont présumés, sauf si le salarié les identifie comme étant personnels, avoir un caractère professionnel. Ainsi, l’employeur peut y avoir accès sans demander l’autorisation (Cass. soc., 19 juin 2013, n° 12-12139).

En troisième lieu, le droit au respect de la vie privée peut entrer en opposition avec le droit à la preuve. La question qui se pose est la suivante : peut-on accepter qu’une partie à un procès produise des preuves qui portent atteinte à la vie privée de son adversaire ? La Cour de cassation a répondu à cette question par l’affirmative : la production de preuves constituant une atteinte à la vie privée est justifiée si elle est indispensable à l’exercice du droit à la preuve et que l’atteinte est proportionnée au but poursuivi (Cass. Civ. 1ère, 25 févr. 2016, n° 15-12.403).

Ainsi, l’application du droit au respect de la vie privée se voit limitée par les autres droits et libertés avec lesquels il entre en conflit. C’est également le cas en raison du régime de preuve et de la relative efficacité des sanctions des atteintes à la vie privée.

B) Le régime de preuve et les sanctions des atteintes à la vie privée

L’article 9 alinéa 2 du Code civil prévoit que « les juges peuvent, sans préjudice de la réparation du dommage subi, prescrire toutes mesures, telles que séquestre, saisie et autres, propres à empêcher ou faire cesser une atteinte à l’intimité de la vie privée : ces mesures peuvent, s’il y a urgence, être ordonnées en référé » .

Toutefois, pour que ces sanctions soient prononcées, il faut que l’atteinte à la vie privée soit prouvée. A ce titre, il ne suffit pas de démontrer une immixtion dans la vie privée. Il faut également vérifier l’absence d’autorisation préalable de ladite immixtion. En effet, chaque personne peut librement autoriser des atteintes à sa vie privée. Dès lors, en présence d’une autorisation expresse, l’atteinte à la vie privée ne pourra pas être caractérisée.

Par ailleurs, comme l’énonce clairement l’article 9 alinéa 2 du Code civil, une atteinte à la vie privée peut donner lieu, sur le plan civil, à deux types de sanctions. D’abord, la victime peut prétendre à la réparation du préjudice subi, c’est-à-dire à l’allocation de dommages-intérêts. Si, comme on l’a évoqué précédemment, la constatation de l’atteinte à la vie privée est suffisante pour engager la responsabilité de son auteur (sans qu’il soit nécessaire de caractériser la faute), il n’en demeure pas moins qu’il faut bien établir un préjudice pour que la victime puisse obtenir réparation. A ce titre, la détermination du préjudice est souvent difficile et ne compense pas toujours l’ampleur de l’atteinte. En particulier, les profits générés par la révélation d’informations privées sont souvent bien supérieurs aux dommages-intérêts décidés par les juges (on pense notamment aux magazines people qui sont vendus à des centaines de milliers d’exemplaires). Ensuite, la victime peut également prétendre à un certain nombre de mesures qui ont pour but de faire cesser l’atteinte à la vie privée (comme un séquestre ou une saisie).

Ces sanctions ne peuvent toutefois intervenir que de manière exceptionnelle, en cas d’atteinte particulièrement grave à la vie privée. Ainsi, dans de nombreux cas d’atteintes à la vie privée, elles ne seront pas prononcées par les juges.

On voit donc que les sanctions civiles de l’atteinte à la vie privée ne sont pas réellement dissuasives. C’est également le cas en ce qui concerne les sanctions pénales. L’article 226-1 du Code pénal dispose qu’ « est puni d’un an d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende le fait, au moyen d’un procédé quelconque, volontairement de porter atteinte à l’intimité de la vie privée d’autrui :  1° En captant, enregistrant ou transmettant, sans le consentement de leur auteur, des paroles prononcées à titre privé ou confidentiel ;  2° En fixant, enregistrant ou transmettant, sans le consentement de celle-ci, l’image d’une personne se trouvant dans un lieu privé. Lorsque les actes mentionnés au présent article ont été accomplis au vu et au su des intéressés sans qu’ils s’y soient opposés, alors qu’ils étaient en mesure de le faire, le consentement de ceux-ci est présumé. » Pour qu’il y ait sanction, il faut donc qu’il y ait une atteinte volontaire à la vie privée réalisée selon certains procédés bien précis (captation ou enregistrement sans le consentement de la personne, en sachant que le consentement est présumé quand l’atteinte est réalisée devant la personne et que celle-ci ne montre pas une opposition).

Ainsi, aussi bien les sanctions civiles que pénales n’interviennent que de manière exceptionnelle, et contribuent à limiter l’efficacité du droit au respect de la vie privée.

C’est tout pour cet exemple de dissertation juridique !

J’espère que cela vous aura aidé à mieux comprendre ce qu’est une dissertation juridique, et comment il faut la rédiger.

Articles similaires :

Arrêt de cassation : définition, structure et exemples

Arrêt de rejet : définition, structure et exemples

Fiche d’arrêt : méthodologie et exemple

Exemple de cas pratique en droit administratif

exemple de dissertation juridique sur le mariage

Je m’appelle Maxime Bizeau, et je suis avocat de formation, diplômé de l’école d’avocats du Barreau de Paris .

Après mon bac, je me suis lancé dans l’aventure de la licence de droit.

Mais très vite, je me suis senti submergé par la charge de travail . Des centaines et des centaines de pages à apprendre, sans savoir sur quoi se focaliser, sans savoir ce qui était réellement important et ce qui ne l'était pas.

Mes résultats étaient irréguliers , et pas à la hauteur de mes espérances.

J’ai donc décidé de changer ma méthode de travail. Plutôt que d'essayer de tout retenir, j'ai commencé à ficher mes cours régulièrement, et à relire ensuite mes fiches avant les examens.

Rapidement, mes résultats se sont considérablement améliorés .

J’ai finalement validé ma licence avec mention ( 13,32 de moyenne ) et mon master 1 en droit des affaires avec 15 de moyenne .

Ces bons résultats m’ont ouvert les portes du prestigieux Master 2 Droit financier de l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne , et des plus grands cabinets d’avocats d’affaires internationaux .

J’ai ainsi pu travailler dans des cabinets anglo-saxons très réputés à Paris, avec des gens brillants, sur des dossiers passionnants, et dans des conditions optimales.

A travers ce site, je souhaite aider un maximum d’étudiants en droit à atteindre leurs objectifs.

intéressant

Merci c’est très gentil de votre part

Cet exemple illustre vraiment bien

C’est très passionnant ton histoire et merci de l’avoir partagé

Super merci beaucoup pour votre réactivité

Merci beaucoup !

Comment faire pour avoir le guide pratique car je veux réussir mes études en droit

Bonjour ,belle initiative pour aborder et connaître les droits et devoirs de la constitution pour remplir pleinement la valeur de la souveraineté nationale et des droits fondamentaux inaliénable et imprescriptible,que malheureusement les gouv’ n’ont pas instruit dans les écoles des le plus jeunes âges et mêmes collèges, lycées,pour mieux comprendre et respecter nos droits et devoirs pour que la souveraineté est un sens et de ce faite soit plus accepter de tous en la faisant aimer par des ateliers , théâtres,écritures,oeuvres, monuments historiques, philosophes et pour rappeler que nos aïeux ce sont battus aux prix de leurs sang pour que ns ayons une société universel nationale dans la bienveillance.Notre pays ,nations,devise Fraternité Équité, liberté,notre histoire qui fait de ce pays ,le pays des Lumières.Soyez des justes pour rétablir la justice des lois injustes qui ne prend pas en comptes les circonstances. Cordialement Maître

Merci bien pour l’aide que tu nous offrent à mieux comprendre la methodologie

Je suis intéressé par votre proposition parce que j’arrive pas a faire une bonne dissertation juridique

Merci bien pour le soutien

Je veux bien comprendre comment faire une bonne dissertation juridique

merci beaucoup

Merci pour ce sujet . Il va m’aider dans ma plaidoirie fictive de l’enseignement méthodologie l1 . Cela m’a aidé à mieux comprendre mon sujet et ce n’est pas rien

Je voudrais comprendre la méthodologie du commentaire svp

le sujet corrigé sur l’ Etat juridique

Comment traité un sujet juridique avec la méthodologie juridique :exemple les sanctions du non respect des conditions de formation du mariage

J’aimerais bien comprendre la méthodologie de la dissertation juridique si possible bien sûr…

faites moi comme exemple de dissertation juridique :le divorce et l’annulation du mariage.

dissertation juridique sur le mariage

je souhaite avoir les exercices de dissertation et tous leurs corrigés svp merci!

Je voudrais recevoir des examens et leurs corrigés notamment des épreuves de licence 1

bonjour besoin d aide avec une dissertation le sujet est l exonération du transporteur en cas de dommage subie par le passager

Super, j’adore votre manière de rédaction.

Je veux que vous m aidez sur la méthodologie de la dissertation juridique. Si possible?

que vous inspire cette citation d’Aristote :‹‹l’homme est un animal politique plus qu’une abeille et que n’importe quel animal grégaire›› aider à le traiter

J’ai besoin d’un introduction du sujet: conditions de traité en droit international public

Cc pourriez vous m’aider avec mon devoir s’il vous plaît sur le droit privé et le droit public

J’ai besoin du traité du sujet <>en dissertation juridique

Je voudrais que vous me donner des sujet qui sont susceptibles d’être donner au capa .

Mais dit moi la forme plus facile que l’homme peut comprendre la désertation juridique

exemple de dissertation juridique sur le mariage

Suivez Fiches-droit.com sur les réseaux sociaux

Mentions légales

Conditions générales de vente

Politique de confidentialité

Liens utiles

La session a expiré

Veuillez vous reconnecter. La page de connexion s’ouvrira dans une nouvelle fenêtre. Après connexion, vous pourrez la fermer et revenir à cette page.

exemple de dissertation juridique sur le mariage

Logo Aideauxtd

  • li:not(.tcb-excluded-from-group-item)"> Nos offres

Pour comprendre le cours et la méthode.

Pour apprendre efficacement

NEW ! Outil révolutionnaire.

Pour s'entrainer

Pour vous tester

Pour réviser

Pour réussir vos TD

Pour un accompagnement personnalisé

Pour vous améliorer

  • ul > li > a:not(.tcb-excluded-from-group-item)"> Réussir les rattrapages
  • ul > li > a:not(.tcb-excluded-from-group-item)"> Blog
  • ul > li > a:not(.tcb-excluded-from-group-item)"> Augmenter tes notes
  • ul > li > a:not(.tcb-excluded-from-group-item)"> QCM
  • ul > li > a:not(.tcb-excluded-from-group-item)"> Méthodologie
  • ul > li > a:not(.tcb-excluded-from-group-item)"> Qui sommes nous ?
  • ul > li > a:not(.tcb-excluded-from-group-item)"> Avis d'étudiants
  • ul > li > a:not(.tcb-excluded-from-group-item)"> Contact
  • li.menu-item.menu-item-3"> Je rejoins l'Académie

Blo g •   Méthodologie juridique   •   Exemple de dissertation juridique corrigée

Exemple dissertation juridique corrigée droit civil - aideauxtd.com

Exemple de dissertation juridique corrigée

• Par   R. BRIGUET-LAMARRE .   Enseignant, diplômé de l'école de formation du barreau de Paris  (CAPA), Master 2 DPRT (Paris II)

• Publication :  9 novembre 2021

• Mise à jour :  10 mars 2023

Vous trouverez dans cet article un  exemple de dissertation juridique  intégralement rédigée. Il s’agit d’un sujet dont j'ai dû faire la correction en séance de travaux dirigés de droit civil (droit des personnes) avec les étudiants de première année de droit.  Le sujet de la dissertation invite à s’interroger sur le thème des sources du droit des personnes. C'est, à mon sens, un sujet de dissertation dont la correction peut vraiment vous aider à progresser (les sujets de type "sources du droit" peuvent tomber dans de nombreuses matières juridiques). 

Lire aussi   –   La méthode de la dissertation juridique

Prenez le temps de lire l’énoncé et essayez de le faire dans les conditions de l’examen. 

1. Sujet / énoncé de la dissertation juridique 

"Les sources du Droit des personnes"

2. Corrigé de la dissertation juridique 

( Accroche ). La Cour de cassation a validé le 4 octobre 2019 la transcription en droit français de la filiation de la mère d’intention vis-à-vis de ses deux filles, nées d’une gestation pour autrui aux États-Unis à la suite d’une demande d’avis consultatif adressée à la Cour européenne des droits de l’homme. Cet évènement d’actualité permet d’illustrer la diversité des sources du droit des personnes.

( Définitions ). L’expression « sources du droit » est une métaphore servant à désigner les origines des normes juridiques. On distingue classiquement les sources du droit « matérielles » des sources du droit « formelles ». Ce dernier sens, désignant les différents types de normes juridiques dans lesquelles le droit trouve sa source, est celui qui sera ici retenu. Le droit des personnes peut se définir comme la partie du droit civil qui étudie les personnes en tant que sujets de droit c’est-à-dire les sujets titulaires de droits et assujettis à des obligations. S’intéresser aux sources du droit des personnes revient à étudier les différents types de normes juridiques qui créent le droit des personnes français.

( Intérêts / Impératifs contradictoires ). Le droit des personnes est régi par le droit français et notamment par le Code civil. Quelques dispositions constitutionnelles sont également susceptibles de concerner la matière. Toutefois, le Droit des personnes français évolue désormais également sous l’influence du Droit international et notamment du Droit européen avec le rôle joué par la Cour européenne des droits de l’homme.

( Problématique ). Dans quelle mesure les sources du Droit des personnes évoluent-elles ?  

( Annonce de plan « générale » ). Si le droit des personnes est largement encadré par le droit national (I), il semble désormais évoluer sous l’influence du droit international (II).

I. L’encadrement important du Droit des personnes par le droit national

( Annonce de plan « interne» ). Le Droit des personnes français est largement encadré par les pouvoirs publics nationaux (I). Les juridictions nationales contribuent également à son évolution (II).

A. L’encadrement du droit des personnes par les pouvoirs publics nationaux

En premier lieu, la Constitution prévoit des règles de répartition des compétences entre le pouvoir législatif et le pouvoir règlementaire. Ainsi, l’article 34 de la Constitution qui énumère les matières réservées à la loi vise notamment les règles concernant l’état et la capacité des personnes ce qui n’empêche pas au pouvoir réglementaire d’intervenir pour appliquer la loi.

Par ailleurs, quelques dispositions de valeur constitutionnelle qui ne concernent pas directement le Droit des personnes trouvent application en Droit des personnes. Par exemple, l’article 6 de la Déclaration des droits de l’homme et des citoyens de 1789 (principe d’égalité) a été invoqué afin de contester la constitutionnalité de l’article 521-1 du Code pénal interdisant notamment la création de nouveaux gallodromes (Décision n° 2015-477 QPC du 31 juillet 2015).Cette décision ne concerne pas directement les personnes humaines, mais elle a une importance certaine en Droit des personnes car elle contribue à faire évoluer le régime juridique applicable aux animaux dont le classement dans la summa divisio « personnes / choses » pose problème.

Ensuite, la loi conserve une importance certaine en Droit des personnes. Par exemple, les lois adoptées par le Parlement français en matière de bioéthique visant à s’assurer que la science reste au service de l’homme sont relatives au respect du corps humain, au don et à l’utilisation des éléments du corps humain, à l’assistance médicale à la procréation, au diagnostic prénatal et au traitement des données nominatives ayant pour fin la recherche dans le domaine de la santé. Cette législation est codifiée dans le Code de la santé publique et dans le Code civil. La dernière loi bioéthique a été adoptée le 2 août 2021 et comporte et dispositions très importantes modifiant profondément certains pans du Droit des personnes (ouverture de l’assistance médicale à la procréation aux femmes non mariées et aux couples homosexuels de femmes, organisation d’un système d’information mis à la disposition des enfants issus de dons de gamètes…).

Enfin, les circulaires, même si elles n’ont aucune valeur juridique, peuvent parfois servir à aiguiller les juges sur des problèmes relatifs au Droit des personnes. Ainsi, une circulaire de 2001 prévoyait par exemple qu’un acte d’enfant sans vie ne pouvait pas être établi lorsque l’enfant ne naissait ni vivant ni viable. Mais la Cour de cassation a refusé d’appliquer cette circulaire (1ère Civ., 6 fév. 2008, n°06-16.498).  et, par la suite, les décrets du 20 août 2008 ont subordonné l’acte d’enfant sans vie à un certificat médical d’accouchement.

( Transition ). Le Droit des personnes est aussi largement encadré par les juridictions nationales.

B. L’encadrement du Droit des personnes par les juridictions nationales

Bien qu’officiellement la jurisprudence ne soit pas une source du droit en vertu notamment de l’article 5 du Code civil selon lequel « il est défendu aux juges de prononcer par voie de disposition générale et réglementaire sur les causes qui leur sont soumises », en pratique, les juridictions françaises ont une véritable influence sur le droit des personnes.

En premier lieu, les juridictions de l’ordre judiciaire contribuent à faire évoluer le Droit des personnes.

D’abord, la Cour de cassation à un rôle extrêmement important dans l’évolution du Droit des personnes. La Cour de cassation a par exemple refusé la demande d’une personne de pouvoir inscrire dans les actes de l’état civil (qui invoquait une atteinte au droit au respect de sa vie privée dont l’identité sexuée fait partie) la mention « sexe neutre » (Civ. 1ère, 4 mai 2017, n°16-17189). De même, elle a consacré certains principes importants du Droit des personnes comme l’adage infans conceptus en induisant ce principe de plusieurs dispositions du Code civil induit ce principe de plusieurs dispositions du Code civil (Cciv., art. 725 sur la succession ; art. 906 sur la donation).

En outre, les juridictions de première instance et les cours d’appel ont également un certain rôle en Droit des personnes dans la mesure où ils peuvent parfois initier des revirements de jurisprudence ou peuvent faire des demandes d’avis à la Cour de cassation (exemple : Avis n° 14-70.006 de la Cour de cassation du 22 septembre 2014 sur le recours à la procréation médicalement assistée).

Par ailleurs, les juridictions de l’ordre administratif, à la tête desquelles se trouve le Conseil d’État, jouent également un rôle certain en Droit des personnes. Par exemple, le Conseil d’État a jugé que le choix du mode de sépulture fait par la personne avant son décès doit être respecté et participe de ses convictions personnelles (CEDH art 8 et 9), mais que dans l’intérêt de l’ordre et de la santé publique seule l’inhumation et la crémation sont possibles.

( Transition ). Bien que le droit national et les juridictions internes conservent un rôle très important dans la construction du Droit des personnes, le Droit international et européen influence de plus en plus largement le Droit des personnes français.

Lire aussi   –   Exemple de dissertation juridique corrigée en Droit constitutionnel

II. L’évolution manifeste du Droit des personnes sous l’influence du Droit international

( Annonce de plan « interne » ). Cette évolution résulte de l’influence du Droit issu du Conseil de l’Europe et notamment de la Convention européenne des droits de l’homme (A) mais également du Droit international (B).

A. L’influence grandissante du Droit européen sur le Droit des personnes

Le Conseil de l’Europe est une organisation intergouvernementale créée en 1949 qui a adopté la Convention européenne des droits de l’homme le 4 novembre 1950, que la France a  ratifié le 3 mai 1974. Cette Convention reconnaît à toute personne des droits et libertés civils et politiques dont le respect s’impose aux États dont certains concernent directement ou indirectement le Droit des personnes.

En premier lieu, la particularité de la Convention européenne des droits de l’homme est qu’elle bénéficie d’un effet direct. Tout justiciable peut invoquer les dispositions de la convention dans ses rapports avec l’État (effet direct vertical) ou avec d’autres particuliers (effet direct horizontal) devant les juridictions françaises. Ainsi, dans l’arrêt rendu par la Cour de cassation précité relatif au sexe neutre (Civ. 1ère, 4 mai 2017, n°16-17189), le justiciable invoquait notamment le droit au respect de la vie privée, prévu par l’article 8 de la Convention, pour tenter d’obtenir la possibilité de faire inscrire sur ses actes d’état civil la mention de « sexe neutre ». De même, le Conseil d’État a posé le principe du respect du choix du mode de sépulture fait par la personne avant son décès sur le fondement de l’article 8 de la Convention (CE, 6 janv. 2006, n°260307).

En deuxième lieu, toute personne peut saisir la Cour européenne des droits de l’homme, chargée de faire appliquer la Convention, après épuisement des voies de recours internes et une décision de la Cour sanctionnant la France rend nécessaire une modification de la loi française pour en tenir compte (l'État doit remédier à la violation constatée selon les moyens qu'il choisit selon l’article 46 de la Convention). Ainsi, La Cour européenne des droits de l’homme a par exemple jugé, à propos de l’homicide sur fœtus, que le point de départ du droit à la vie relève de la marge d’appréciation des États et qu’il n’est pas souhaitable de répondre dans l’abstrait à la question de savoir si l’enfant à naître est une personne au sens de l’article 2 de la Convention (CEDH, VO c/ France, 8 juillet 2004). Les décisions de condamnation de la Cour européenne des droits de l’homme ont conduit également la France à faire évoluer sa législation et la jurisprudence relative aux personnes transgenres notamment sur la condition de nécessité d’une opération stérilisante (CEDH, 6 avril 2017).   

( Transition ). Le Droit international contribue également à faire évoluer le Droit des personnes français.

B. L’influence du Droit international sur le Droit des personnes

Certaines conventions internationales contribuent également à l’évolution du Droit des personnes sur certains aspects. Elles peuvent exercer une influence directe sur le Droit des personnes ou une influence indirecte.

En premier lieu, l’influence peut être directe. Par exemple, la Convention internationale des droits de l’enfant (« Convention de New York ») ratifiée par la France le 7 août 1990 pose notamment le principe de l’intérêt supérieur de l’enfant. Ce principe est pris en compte par la Cour de cassation dans le cadre des contentieux relatifs à l’établissement de la filiation en cas de gestation pour autrui réalisée à l’étranger. Elle tente de concilier l’intérêt supérieur de l’enfant (art. 3, § 1, Conv. New York sur les droits de l'enfant) et son droit au respect de sa vie privée (art. 8 CEDH) avec l’interdiction d’ordre public de la GPA fondé sur le principe d’indisponibilité du corps humain (exemple : Ass. Plén. 4 octobre 2019 n°10-19.053). De même, le principe de l’intérêt supérieur de l’enfant trouve à s’appliquer dans le domaine du don de gamètes. Ainsi, le principe d’anonymat du donneur de gamète est contesté sur le fondement de l’article 7-1 de la Convention internationale des droits de l’enfant (« l’enfant a, dès sa naissance, le droit (...) de connaître ses parents et d’être élevé par eux »). La loi du 2 août 2021 a même organisé un système d’information mis à la libre disposition des enfants issus de dons une fois devenus majeurs.

Ensuite, certaines conventions internationales peuvent exercer une influence indirecte sur le Droit des personnes. Par exemple, il existe une Déclaration universelle des droits de l’animal du 15 octobre 1987. Bien que la valeur de cette Déclaration soit symbolique et non juridique, l’existence de ce type de Déclaration contribue à alimenter les critiques relatives à la pertinence de la summa divisio entre les personnes et les biens en France. 

J'espère que cet exemple de dissertation juridique intégralement corrigée vous a été utile.

Bonnes révisions à vous !

exemple de dissertation juridique sur le mariage

Une plateforme en ligne avec tout pour réussir tes partiels .

Cours vidéos, fiches de révision, annales corrigées, flashcards, QCM... Pour les étudiants en droit en L1, L2, L3 ou capacité en droit.

Découvrez nos autres articles dans la catégorie 

Méthodologie juridique, le contrôle de proportionnalité (ou principe de proportionnalité), exemple de cas pratique (licenciement économique), fiche de jurisprudence : méthode et exemple, ajoutez un commentaire.

Vraiment je suis content pour cette marque nous vous remercions🥰❤

Vraiment je suis content pour cette marque nous vous remercions🥰❤ et je suis un ivoirien si vous piur m'aider a comprendre plus je vous en pris😔.

Cette catalogue est vraiment magnifique et sollicite plus de cours mon professeur merci une fois encore

Je suis vraiment content de voir le guide en droit civil, j'aimerai que vous pouvez m'aider a augmente ma connaissance en droit…. merci beaucoup

Je vous remercie infiniment… J'aimerais pouvoir vous contacter pour plus m'éclaircir sur les cours du droit 🙏.

Magnifique, suis vraiment content d'avoir eu ce fichier

Merci beaucoup !

Je suis un peu édifié de ce model mais je vous demande si dans une telle dissertation on n introduit pas ni conclure? Merci pour la réponse

Merci beaucoup , c'est vraiment bien 🥰, j'aime beaucoup le trop

Bonjour, la conclusion n’est pas nécessaire pour les dissertations juridiques. L’introduction est bien obligatoire en revanche

Comment traiter ce sujet l'Etat peut-il tout faire ?

Merci beaucoup pour le soutien. Je viens de me connecter dans la page, ça m'a plu.

J'ai un exercice pouvez vous m'aidez à le corriger svp

J'aime votre site internet par rapport à votre programme d'enseignement du cours

Merci pour votre travail. Bonne continuation, sachez que vous nous aider dans notre démarche.

Merci beaucoup ☺️

Ça vous a été utile ?

Comment traiter un sujet la permanence de la règle de droit

Ces exemples de dissertations juridique va beaucoup m’aider dans mes différents exercices

Merci énormément pour cet exemple de dissertation juridique ! J’ai trouvé cela très utile et j’en ai beaucoup appris. J’ignorais pas mal de choses, donc j’en prends note. Et , merci encore pour votre travail !

C’est formidable

Merci beaucoup, je suis content pour cette fichier.

Merci beaucoup ♥️ ça m’as beaucoup aidée

Bonjour la famille comment allez vous, mais j’aime cette site ce bon franchement

Merci beaucoup pour cette lumière

Merci pour cette précieuse documentation de guide. Je suis de retour en Guinée après mon Master Lyon3 Merci pour tout votre soutien

Je suis vraiment contente pour cette marque nous vous en remercions j'aimerai que vous m'aidiez a réunir mes études en droit.

Merci beaucoup de votre aides .

Je trouve que c'est une bonne initiative. Et ça va beaucoup m'aider. Je n'aurai plus de difficulté. Surtout sur les exercices de la dissertation juridique

Heureux que ça vous soit utile

Merci du fond du cœur pour cette fiche ça nous édifie vraiment et nous sollicitons encore plus de cours 🙏

En tout cas le sujet est bien traité

C'est intéressant

Vraiment je suis tellement content pour cette marque nous vous remercions 😁😊

Ce trés important

Bonjour vraiment je suis très content et ravissant d'avoir eu accès à votre site Internet. Merci beaucoup.

Merci beaucoup de nous eclaircir

Bon je suis vraiment content d'avoir vos aides quand nous vous suivez ça nous aide vraiment merci pour votre travail

C'est intéressant valeureux pour nous.

vraiment cet article et exceptionnel parce que je fais mes recherches et je l'ai trouvé ici donc j'ai courage tous les administrateurs et tous ceux qui ont fait en sorte que cet article puisse exister jusqu'aujourd'hui en tout cas je vous remercie parce qu'il me rechercher sont complètement accompli au sujet de la dissertation juridique merci je vous encourage et continuez toujours à faire des études qui permettront sortir que nous les chercheurs ou encore les élèves les étudiants nous puissions se bénéficier de ça

C'est vraiment une énorme joie pour moi d'avoir retrouvé ce sujet corrigé intégralement. Je suis fier 🤩

Je suis intéressé

J’ai vraiment apprécié ces méthodes de faire car j’ai compris beaucoup de choses

Sa méthodologie est extraordinaire j’ai compris beaucoup de choses

La session a expiré

Veuillez vous reconnecter. La page de connexion s’ouvrira dans une nouvelle fenêtre. Après connexion, vous pourrez la fermer et revenir à cette page.

Ce texte est protégé par le droit d'auteur :)

Fiches/Cours

Les conditions du mariage

mai 11, 2019 Isa Germain 4) Droit des personnes et de la famille 0

QUELLES SONT LES CONDITIONS DU MARIAGE?

Le mariage peut être défini comme « l’union d’un homme et d’une femme résultant d’un accord de leurs volontés donné selon des formes solennelles et dont les conséquences sont impérativement fixées par la loi » (Goubeaux et Voirin). La nature juridique du mariage est donc complexe. Le mariage se forme comme un contrat par la volonté des époux (§1) mais ses effets sont définis par la loi, comme une institution).

Le mariage est un engagement solennel, en principe, irrévocable. Aussi, la loi s’assure t-elle de l’efficacité de l’engagement en posant un certain nombre de conditions (I) dont le non-respect emporte l’application de sanctions (II).

  • Droit des personnes et de la famille
  • Les conséquences de la PMA sur la filiation
  • Le recours à l’aide médicale à la procréation
  • Qu’est-ce que l’adoption simple et l’adoption plénière?
  • La filiation naturelle
  • La filiation légitime
  • Présomption et possession d’état en matière de filiation
  • Les effets du divorce
  • Les causes du divorce
  • La séparation de corps

I. Les conditions de formation du mariage

Le mariage n’est valablement formé qu’à la réunion de certaines conditions de fond (A) et de forme (B).

A – Les conditions de fond

Ces conditions sont d’ordre physiologique (1), psychologique (2) et sociologique (3).

1) Les conditions physiologiques

Le mariage suppose une différence de sexe : il est l’union d’un homme et d’une femme. Il est intéressant de noter que le 1 er avril 2001, deux lois du 21 décembre 2000, l’une sur le mariage des personnes de même sexes, l’autre sur l’adoption par deux personnes du même sexe sont entrées en vigueur aux Pays-Bas (cf, JCP 2001, n°22-23, Actualité par H. Fulchiron). Désormais, deux homosexuels peuvent se marier et adopter des enfants. Les époux homosexuels sont par ces lois, complètement assimilés aux couples hétérosexuels. L’article 30 du Code civil néerlandais indique que le mariage peut être contracté par deux personnes de sexe différent ou de même sexe. Pour que le mariage puisse être valablement célébré aux Pays-Bas il suffit que l’un des époux ait la nationalité néerlandaise (quand bien même les deux partenaires résideraient hors des Pays-Bas) ou réside aux Pays-Bas (quand même les deux intéressés seraient de nationalité étrangère et que l’un d’eux ne vivrait pas aux Pays-Bas). Cette loi précise que les conditions de validité du mariage sont régies par la loi néerlandaise : peu importe que la loi nationale de l’intéressé prohibe le mariage entre personnes du même sexe. La France sera sans doute contrainte de reconnaître la validité de tels mariages. Et s’ils résident ensuite en France, leur ouvrira t-on tous les droits réservés aux personnes mariées (y compris l’adoption ? ? ?).

Peu importe les capacités sexuelles des futurs conjoints ou leurs aptitudes à procréer. Même si l’une des finalités du mariage est la procréation, la loi ne l’a pas érigée en condition de validité du mariage.

La loi pose une condition d’âge : « l’homme avant 18 ans révolus, la femme avant 15 ans révolus, ne peuvent contracter mariage » (article 144 du Code civil). Le procureur de la République peut cependant accorder des dispenses pour motif grave, comme l’état de grossesse de la femme (article 145 du Code civil). Le rapport Dekeuwer-Défossez propose d’unifier les conditions d’âge entre l’homme et la femme et de fixer l’âge à 18 ans.

2) Les conditions psychologiques

Le consentement doit exister : il doit être réel et sérieux. « Il n’y a pas de mariage lorsqu’il n’y a point de consentement » (article 146). Le consentement n’est pas réel si le conjoint était incapable d’exprimer un consentement. Tel est souvent lorsque le mariage est contracté « in extremis », c’est-à-dire peu avant le décès du conjoint, à des fins le plus souvent purement successorales. Le consentement doit être sérieux. Cela signifie que le mariage ne doit pas être simulé, ce qui est le cas lorsque les époux ne se sont prêtés à la cérémonie qu’en vue d’atteindre un résultat étranger à l’union matrimoniale, comme l’obtention d’un visa de sortie de son pays d’origine ou l’acquisition de la nationalité française.

Le consentement doit être exempt de vices. Il résulte de l’article 180 du Code civil que le mariage peut être attaqué lorsqu’un époux a émis un consentement à la suite d’une erreur ou d’une violence. Le dol n’est pas une cause de nullité car, comme l’exprimait Loysel dans un adage bien connu : « En mariage, trompe qui peut ». L’erreur peut porter sur l’identité civile de la personne ou sur ses qualités essentielles : moralité, aptitude à la procréation ou aux relations sexuelles, santé mentale. Le juge appréciera l’existence de l’erreur, le caractère essentielle de la qualité qui fait défaut et le caractère déterminant de l’erreur.

3) Les conditions sociologiques

La bigamie est une cause de nullité du mariage : pour contracter mariage, il faut être célibataire, veuf ou divorcé (article 147 du Code civil). La femme précédemment mariée ne peut pas se remarier immédiatement après son premier mariage. Elle doit laisse s’écouler un délai de 300 jours, appelé délai de viduité et destiné à éviter toute incertitude sur la paternité du mari. La loi prévoit un certain nombre de tempéraments au respect de cette règle. Ainsi, par exemple, le délai de viduité prend fin lorsque la femme accouche au cours du délai ou produit un certificat attestant qu’elle n’est pas enceinte (article 228 du Code civil).

L’inceste est une cause de nullité du mariage :

Entre parents, le mariage est prohibé entre tous les ascendants et descendants légitimes ou naturels. Le mariage est aussi prohibé entre frère et sœur légitimes ou naturels. Ces prohibitions sont absolues, c’est-à-dire qu’elles ne peuvent faire l’objet d’aucune dispense (article 161 et 162 du Code civil).

Le mariage est aussi prohibé entre l’oncle et la nièce, la tante et le neveu (article 163 du Code civil) ainsi qu’entre alliés en ligne directe (article 161 du Code civil). Néanmoins, dans ces cas, la prohibition est relative. L’article 164 du Code civil permet au Président de la République de lever les prohibitions entre l’oncle et la nièce, la tante et le neveu et entre alliés en ligne directe lorsque la personne qui a créé le lien est décédée.

B – Les conditions de forme

Des formalités avant le mariage doivent être accomplies. Ainsi, le projet de mariage est annoncé au public au moyen d’une affiche apposé par les soins de l’officier d’état civil à la porte de la mairie (article 63 du Code civil). L’affiche doit restée apposée pendant 10 jours et le mariage ne peut être célébré avant l’expiration de ce délai, ni plus d’un an après (article 64 et 65 du Code civil). La publication doit avoir lieu dans la commune où est célébré le mariage et dans la commune où chaque futur époux a son domicile ou sa résidence (article 166 du Code civil). Les publications ne peuvent avoir lieu que si chacun des époux a remis à l’officier d’état civil un certificat médical de moins de deux mois attestant qu’il a été examiné avant le mariage. Le certificat ne doit contenir aucune mention.

Des formalités entourent la célébration du mariage. Le lieu de la célébration est, en principe, dans la commune où l’un des futurs époux a son domicile (article 74 du Code civil). Le jour de la célébration est choisi librement par les époux. Le mariage est célébré à la mairie. L’officier d’état civil vérifie les conditions de capacité des époux et, le cas échéant, le consentement de leurs familles (pour les incapables mineurs ou majeurs) et les pièces que les futurs époux doivent fournir (extrait d’acte de naissance de moins de 3 mois, certificat d’examen médical, etc…). L’officier d’état civil donne lecture des articles du Code civil relatifs aux devoirs et obligations des époux et leur demande s’ils ont fait un contrat de mariage. Ensuite, il recueille leur consentement et prononce au nom de la loi le mariage. La célébration doit être publique et en présence de deux témoins au moins et quatre au plus (article 75 du Code civil).

II. Les sanctions des conditions de formation du mariage

Ces sanctions sont l’opposition (A) ou la nullité (B) selon la qualité de la personne qui conteste la validité du mariage.

A – L’opposition

L’opposition au mariage est une sanction préventive. Ce droit appartient aux membres de la proche famille ainsi qu’au ministère public (article 172 à 175-1 du Code civil). Il leur permet d’interdire à l’officier d’état civil de célébrer le mariage. En cas d’opposition, les futurs époux doivent engager une procédure de mainlevée devant le tribunal de grande instance.

B – La nullité

La nullité du mariage est une sanction postérieure à la célébration du mariage. Toutes les conditions de formations du mariage ne sont pas sanctionnées par la nullité. Il faut distinguer selon la gravité de l’empêchement auquel il a été passé outre.

Le mariage contracté au mépris d’un empêchement simplement prohibitif est valable : défaut de publication, inobservation du délai de viduité, défaut de production du certificat médical, etc… Des pénalités peuvent néanmoins sanctionner l’officier d’état civil qui devait veiller au respect de ces conditions.

Le mariage contracté au mépris d’un empêchement dirimant peut au contraire faire l’objet d’une annulation. Conformément au droit commun, la loi établit une distinction entre les cas de nullité relative et les cas de nullité absolue. La nullité relative est une nullité de protection applicable en cas de vice du consentement ou de non-respect des règles du droit des incapacités. Seule la personne protégée peut agir ou bien confirmer expressément ou tacitement l’acte entaché de nullité. La nullité absolue sanctionne la méconnaissance d’une règle intéressant l’ordre public : identité de sexe, inceste, bigamie, impuberté, absence de consentement, clandestinité ou incompétence de l’officier d’état civil. Dans ces hypothèses, les époux eux-mêmes, tous ceux qui y ont intérêt et le ministère public peuvent agir en nullité (article 184 du Code civil). La loi prévoit des faits susceptibles de couvrir la nullité en matière d’impuberté (article 185 du Code civil) ou de clandestinité (article 196 du Code civil).

La nullité du mariage entraîne, en principe, sa disparition rétroactive : tous les effets passés sont rétroactivement anéantis. Toutefois, la rétroactivité de l’annulation connaît une limite tenant à l’application de la théorie du mariage putatif. A l’égard des enfants, l’annulation du mariage n’est jamais rétroactive et ils restent légitimes (article 202 du Code civil). A l’égard des époux de bonne foi, les effets de la rétroactivité sont également écartés. Le mariage est simplement dissout pour l’avenir, ses effets passés sont maintenus et les règles du régime matrimonial sont appliquées pour sa liquidation. Si un seul des deux époux est de bonne foi, alors seul l’époux de bonne foi pourra bénéficier des effets du mariage putatif.

Soyez le premier à commenter

Poster un commentaire annuler la réponse.

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.

Commentaire

Adresse de contact *

Save my name, email, and website in this browser for the next time I comment.

Copyright © 2024 | Thème WordPress par MH Themes

Évitez les fautes dans vos écrits académiques

Évitez le plagiat gratuitement, faire une bibliographie gratuitement.

  • Dissertation

Exemple de dissertation juridique

Publié le 26 novembre 2018 par Justine Debret . Mis à jour le 7 décembre 2020.

Il est important de savoir ce que vos évaluateurs attendent de vous pour une dissertation juridique. Voici des exemples complets de dissertations juridiques que vous pouvez consulter et télécharger pour comprendre ce qui est attendu.

Inspirez-vous, sans plagier ! Ces exemples sont là pour vous aider, mais ne faites pas de copier-coller. Il est important de ne pas commettre de plagiat .

Une dissertation sans erreur Relisez et corrigez les fautes avant de rendre votre dissertation juridique. Votre évaluateur risque de vous pénaliser pour une orthographe et un style peu soignés.

Table des matières

Exemple 1 de dissertation juridique, exemple 2 de dissertation juridique, exemple 3 de dissertation juridique, exemple 4 de dissertation juridique, exemple 5 de dissertation juridique, exemple 6 de dissertation juridique, exemple 7 de dissertation juridique, exemple 8 de dissertation juridique, exemple 9 de dissertation juridique.

Sujet  : « La spécificité du droit administratif. »

Cet exemple de dissertation juridique porte sur le droit administratif et a été problématisée autour de la question « en quoi le droit administratif, domaine du droit public, se distingue-t-il de manière originale des autres catégories de droit ? ».

Télécharger l’exemple de dissertation

Reformuler des textes rapidement et facilement

Reformulez des phrases, des paragraphes ou des textes entiers en un clin d'œil grâce à notre outil de paraphrase gratuit.

Reformuler un texte gratuitement

Sujet  : « Le Conseil d’État est-il un juge impartial de l’administration ? »

Il s’agit d’une dissertation de droit en droit administratif. Elle porte sur le Conseil d’État et sur la question de son impartialité réelle envers l’administration.

Sujet  : « Qui détient la fonction législative dans l’UE ? »

Cette dissertation de droit européen questionne la fonction législative au sein de l’Union européenne. La problématique de cette dissertation est : « quelles sont les différentes entités européennes qui prennent part à la fonction législative au sein de l’UE ? ».

Sujet  : « La responsabilité de l’État dans la déportation. »

Il s’agit d’une dissertation de droit administratif porte sur la responsabilité de l’État. Elle tente de répondre à la problématique « en quoi est-il possible de reconnaître à l’Etat français une responsabilité dans le rôle qu’il a joué lors de la déportation des juifs sous le régime de Vichy pendant la Second Guerre mondiale ? ».

Combien de fautes dans votre document ?

Nos correcteurs corrigent en moyenne 150 fautes pour 1 000 mots . Vous vous demandez ce qui sera corrigé exactement ? Déplacez le curseur de gauche à droite !

exemple de dissertation juridique sur le mariage

Faites corriger votre document

Sujet  : « Quels changements le Traité de Lisbonne a-t-il apporté à l’organisation de la structure de l’UE ? »

Cette dissertation de droit européen porte sur le Traité de Lisbonne et plus spécifiquement sur les innovations institutionnelles qu’il a instaure pour adapter l’Union aux nécessités évolutives du contexte de l’époque.

Sujet  : « En quoi les Conseils sont-ils les institutions inter-étatiques de l’UE ? »

Il s’agit d’une dissertation de droit européen sur le rôle et la nature des conseils de l’UE : le Conseil des ministres et le Conseil Européen.

Sujet  : « Comment l’UE envisage-t-elle le principe de subsidiarité ? »

Cette dissertation de droit européen porte sur le principe de subsidiarité. La problématique est « de quelle manière l’UE aborde-t-elle le principe de subsidiarité dans le droit européen, mais aussi dans le fonctionnement de l’UE ? ».

Sujet  : « L’évolution du rôle du Parlement européen. »

Cette dissertation de droit européen relate l’évolution historique du Parlement européen lors de la construction européenne et ses évolutions fonctionnelles.

Sujet  : « La Commission, garante de l’intérêt général de l’UE. »

Il s’agit d’une dissertation de droit européen sur le rôle de la Commission européenne comme garante de l’inerte général européen.

Citer cet article de Scribbr

Si vous souhaitez citer cette source, vous pouvez la copier/coller ou cliquer sur le bouton “Citez cet article” pour l’ajouter automatiquement à notre Générateur de sources gratuit.

Debret, J. (2020, 07 décembre). Exemple de dissertation juridique. Scribbr. Consulté le 21 août 2024, de https://www.scribbr.fr/dissertation-fr/exemple-dissertation-juridique/

Cet article est-il utile ?

Justine Debret

Justine Debret

D'autres étudiants ont aussi consulté..., le plan d’une dissertation juridique, introduction de dissertation de droit.

  • Mes préférences de communication
  • Mes articles sauvegardés
  • Mes sujets suivis
  • Mes magazines
  • Déconnexion
  • Économie & Société
  • Votre Argent
  • Vie au travail
  • Votre Retraite
  • Newsletters

Mariage : conditions, démarches et dossier

Le mariage civil en France implique de remplir certaines conditions et de s'atteler à des démarches administratives incontournables. Qui a le droit de se marier sur le territoire français ? Quels sont les documents à fournir à son dossier de mariage ? Où peut-on se marier ? Comment se déroule la cérémonie à la mairie ? Comment se fait la publication des bans ? Focus sur les formalités du mariage.

Par Léa Boluze Mis à jour le 21/08/2024 à 17h17

  • Sauvegarder Sauvegardé
  • Partager cet article sur Facebook
  • Partager cet article sur X
  • Partager cet article sur Linkedin
  • Copier le lien dans le presse-papier Copier le lien Lien copié

À quel âge peut-on se marier en France ?

Être majeur et n'avoir aucun lien de parenté avec son conjoint.

Plusieurs conditions sont à remplir pour pourvoir se marier en France. Il convient tout d'abord de justifier de son âge, soit avoir 18 ans révolus, au minimum. Par ailleurs, il ne faut avoir aucun lien de parenté ou d'alliance avec son partenaire. Ainsi, il est interdit de se marier avec son père, sa mère, son enfant, ses grands-parents, son frère ou sa sœur, son demi-frère ou demi-sœur, son oncle ou sa tante, son beau-père ou sa belle-mère.

Donner son consentement

Pour qu’un mariage soit valide aux yeux de la loi, les futurs époux, de sexe différent ou de même sexe, doivent donner leur consentement libre et éclairé. Dans le cas contraire, l’un des conjoints peut exiger l' annulation du mariage , sans passer par une procédure de divorce . De plus, dans l’éventualité où l’un des deux époux a contracté une union non dissoute, le mariage actuel est considéré comme nul.

Célébrer le mariage dans la commune où se situe la résidence principale

Il est également nécessaire de choisir une mairie sur le territoire de la commune où au moins l’un des deux époux déclare sa résidence principale. Il doit y habiter depuis 30 jours, avant la publication des bans .

Comment monter un dossier de mariage ?

Entamer les démarches en amont.

Le dossier de mariage est à retirer auprès de la mairie de la cérémonie. Il convient de commencer les démarche au moins six mois avant la date du mariage. Cela permet de le compléter sans précipitation et de solliciter les différents organismes afin d’obtenir les documents requis.

Déposer le dossier deux mois avant la date de la cérémonie

Le dépôt du dossier à la mairie s'effectue en règle générale deux mois avant la célébration du mariage. Ce qui permet aux services publics de valider la demande ou, le cas échéant, de revenir vers le couple en cas de pièces justificatives manquantes.

Quels sont les documents à fournir pour se marier ?

Les papiers nécessaires à la constitution du dossier de mariage.

Pour un mariage, les documents à prévoir dépendent de votre situation et celle de votre conjoint. On peut toutefois avancer les pièces suivantes :

  • un justificatif de domicile, comme un avis d’imposition , une facture d’eau ;
  • une copie intégrale de l’acte de naissance des futurs époux ;
  • une pièce d’identité ou la carte de résident en cours de validité ;
  • une attestation sur l’honneur de non-remariage ou de célibat…

Après validation du dossier, la date du mariage est fixée en accord avec la mairie et les deux époux.

À noter : il faut fournir l'original de chacun des documents et il n'est pas possible de célébrer un mariage religieux avant le mariage civil.

Formalités en cas de divorce ou de contrat de mariage

Dans le cadre d’un précédent mariage, il est nécessaire de fournir l’acte certifiant le jugement de divorce. En cas de contrat de mariage , les futurs époux doivent fournir le certificat du notaire.

Comment se déroule l’audition de l’officier d’état civil ?

Dans certaines situations, l’officier d’état civil peut exiger une audition auprès des futurs époux. Cette formalité survient surtout lorsqu’un des conjoints est étranger, en situation irrégulière ou non. Il peut s’agir d’entretiens individuels afin d’établir le caractère sincère du mariage, ainsi que le consentement libre et éclairé des deux parties.

Il peut aussi être nécessaire de justifier de liens durables et éviter un mariage blanc , par exemple. Si nécessaire, l’audition peut se faire en présence des deux futurs époux. La procédure dépend de l’appréciation de l’officier d’état civil et des circonstances.

Quel est le délai de publication des bans pour un mariage ?

La publication des bans sur la porte de la mairie s’effectue dix jours, au plus tard, avant le jour de la cérémonie. Cette dernière étape marque l’annonce publique du mariage et est obligatoire selon le droit civil français. Les avis affichés contiennent les informations suivantes :

  • Prénoms, nom, profession, domicile ou résidence de chacun des conjoints
  • Lieu où le mariage doit être célébré

Cet affichage permet à un tiers éventuel d’en prendre connaissance et de s’y opposer, voire d’empêcher la clandestinité d’une union.

Peut-on se marier dans n’importe quelle mairie ?

Sur la base de l’article 165 du Code civil, le mariage doit être célébré dans la commune où l’un des conjoints réside de manière permanente. Depuis la mise à jour de l’article 74 du Code civil en 2013, il existe toutefois des dérogations pour choisir une mairie différente. Il est par exemple possible de se marier dans la ville où des parents, des proches résident.

S'il n'y a pas attache, une demande est toujours envisageable, mais la mairie est en droit de la refuser. D’où l’importance d’obtenir l’accord des services municipaux avant d’entreprendre les préparatifs du mariage.

Comment se déroule le mariage à la mairie ?

Le maire ou son adjoint célèbre le mariage civil.

La célébration d’un mariage civil se fait en présence du maire ou de son adjoint. L’un ou l’autre de ces représentants peut proposer un discours d’accueil. En moyenne, la cérémonie dure une vingtaine de minutes. Elle comporte des moments clés, comme la lecture des articles de loi propres aux devoirs des époux ou la demande du consentement.

Signature du registre par les témoins

Autre étape incontournable, la signature du registre par les mariés et leurs témoins. En ce qui concerne ces derniers, leur présence est obligatoire. Chaque conjoint peut choisir une ou deux personnes pour le représenter. Elle doit être âgée de 18 ans ou avoir été émancipée. Il n’y a aucune autre condition liée au statut de la personne, sa nationalité ou même son sexe. Il peut aussi s’agir d’une personne extérieure à la famille.

En l’absence de témoins, le mariage peut être invalidé. En cas d’absence imprévue, l’officier d’état civil peut toutefois vous trouver un témoin en urgence, comme un agent de mairie. Pour information, le choix du témoin peut être modifiable jusqu’au moment de la célébration. Au terme de la cérémonie, les époux se voient remettre leur livret de famille .

Pour aller plus loin

Période de mise en situation en milieu professionnel (PMSMP) : conditions et démarches FORMATION

Aide à la mobilité internationale (AMI) : conditions, démarches et montant BOURSE

Recours gracieux : conditions, démarche et modèle de lettre ADMINISTRATION

Remboursement Navigo : conditions, démarche et montant TRANSPORT

Aide spécifique ponctuelle du Crous : condition, démarche et montant AIDE

Retraite anticipée : conditions et démarches AUDIT RETRAITE

Changer de nom de famille : conditions, démarches et recours FAMILLE

Demande de remise gracieuse : conditions, démarches et modèle de lettre IMPÔT SUR LE REVENU

Francisation de prénom : conditions et démarches PIÈCE D'IDENTITÉ

Réinscription à Pôle emploi : conditions et démarches PÔLE EMPLOI

Crédit d'impôt famille : conditions, montant et démarches CRÉDIT D'IMPÔT

Demande de NACRE : principe, conditions et démarches CRÉATION D'ENTREPRISE

Transcription du mariage : démarches et effets MARIAGE

Portabilité de la mutuelle : conditions et démarches MUTUELLES

Succession sans notaire : conditions et démarches SUCCESSION

Connexion à Prisma Connect

Doc du Juriste : toute la documentation pour le juriste, l'avocat et l'étudiant en droit

  • THÈMES JURIDIQUES
  • Méthodologies
  • Commande & correction de doc
  • Détecteur de plagiat
  • LE BLOG JURIDIQUE
  • Actualités en droit
  • Conseils juridiques

Consultez tous nos documents en illimité !

ABONNEZ-VOUS

à partir de 9.95 € sans engagement de durée

Phrases d'accroche pour une dissertation sur le divorce

Le divorce désigne la rupture officielle du contrat de mariage entre deux époux. Le divorce est une rupture de l'union entre deux époux mais il existe d'autres types de séparation tels que la séparation de fait et la séparation de corps.

Phrases d'accroche pour une dissertation sur le divorce

Credit Photo : easydivorce.ch

Facebook

De la même manière qu’il existe plusieurs types de séparation il y a plusieurs divorces : le divorce par consentement mutuel , le divorce international, le divorce pour faute, le divorce pour altération définitive du lien conjugue ou encore le divorce pour acceptation du principe de la rupture du mariage. Le divorce appartenant à la matière du droit familial, il est sujet à de nombreuses réformes qui en font un bon sujet de dissertation.

I)    Phrases d’accroche pour une dissertation sur le divorce international

  • 1 : Lorsqu’un mariage présente un élément d’extranéité sa rupture est par conséquent impactée de sorte qu’il existe une procédure de divorce international règlementée par le règlement Bruxelles II Bis. Ce règlement datant de 2003 est récent mais a fait l’objet d’une modification qui va s’appliquer à compter du 1er aout 2022.
  • 2 : Le divorce est par principe une procédure difficile du fait des liens personnels entre les époux et de ses conséquences financières mais lorsqu’un élément d’extranéité apparait, il devient encore plus compliqué et rend cette procédure encore plus contentieuse.

II)    Phrases d’accroche pour une dissertation sur le divorce pour faute

  • 1 : Alors que les mœurs ont évolué de sorte que la fidélité a perdu de son importance, le divorce pour faute subsiste toujours dans la législation française et est un divorce emblématique parmi les divorces contentieux .
  • 2 : La faute en matière civile est souvent associée à un préjudice et cela se reflète dans les conditions du divorce pour faute et son objet de réparer le préjudice causé par l’un des époux à l’autre.
  • 3 : Avec le contexte sanitaire actuelle, une nouvelle faute apparait dans le divorce celle de la violation de secours et d’assistance avec l’absence de soutien lorsqu’un des époux tombe malade ce qui permet de voir le divorce pour faute sous un jour nouveau.
  • 4 : Avec l’évolution de la société, le divorce pour faute apparait comme plus difficilement accessible. En effet il nécessite une faute qui rendrait intolérable le maintien de la vie commune du couple de sorte que cette condition s’apprécie différemment aujourd’hui.
  • 5 : Depuis la loi du 26 mai 2004, le divorce pour faute n’a plus des conséquences financières différentes sur l’époux fautif par principe ce qui démontre de l’amoindrissement du caractère fautif de ce divorce même si la prestation compensatoire peut être refusée à l’époux fautif.

III)    Les phrases d’accroche pour une dissertations sur les effets du divorce

  • 1 : Le divorce étant la séparation de deux époux impliquent souvent une séparation de deux parents et a des conséquences importantes sur les enfants qu’elles soient financières ou psychologiques puisqu’il s’agit d’un bousculement de la vie familiale.
  • 2 : La principale conséquence du divorce est la liquidation du régime matrimonial c’est-à-dire le partage entre les époux de leurs biens communs ce qui fait du mariage une institution légale aux conséquences patrimoniales des plus conséquentes.
  • 3 : Lors d’un divorce, l’autorité parentale fait également l’objet d’un partage entre les anciens époux. En effet, l’autorité parentale doit s’exercer selon les modalités prévues par une convention conclue entre les époux et homologuée par le juge aux affaires familiales ou en cas de désaccord ses modalités sont directement déterminées par le juge.
  • 4 : Concernant les enfants, le divorce implique la division de l’autorité parentale entre les parents, le versement d’une pension alimentaire pour contribuer à l’éducation et l’entretien de l’enfant et également le partage du lieu de résidence de l’enfant.
  • 5 : La séparation du patrimoine matrimonial a pour conséquence de connaitre la notion de bien commun afin de pouvoir diviser les meubles et immeubles du couple et ces biens différencient selon le type de régime matrimonial adopté par les époux.

IV)    Les phrases d’accroche pour une dissertation sur le divorce amiable

  • 1 :  En droit, le divorce amiable apparait plus simple que le divorce contentieux puisque les époux principaux acteurs de cette procédure sont d’accord sur le principe de divorcer cependant cet accord sur le fait de divorcer ne permet pas d’aboutir à une procédure totalement amiable c’est pourquoi il est souvent requis de faire intervenir des tiers notamment des avocats pour arriver à cette conciliation.

V)    Les phrases d’accroche pour une dissertation sur la procédure de divorce

  • 1 : Le divorce appartenant à la matière de droit de la famille, il est naturellement de la compétence du juge aux affaires familiales qui traite de l’ensemble de la procédure du divorce que celui-ci soit contentieux ou à l’amiable.
  • 2 : Etant donné que le divorce touche à la vie privée des anciens époux, l’instance n’est pas publique et la procédure de divorce a été instaurée dans le but de conserver l’intimité des époux et de les protéger eux et leurs enfants.
  • 3 : Pour la procédure de divorce malgré des conséquences patrimoniales, sociales et financières conséquentes les modes de preuves sont libres et seules les preuves obtenues par fraude ou violence ne sont pas autorisées devant le tribunal.
  • 4 : La procédure de divorce et l’introduction de l’instance de divorce ne peut se faire qu’à l’initiative d’au moins un des deux époux sans que le type de divorce soit déterminé ce qui en l’apparence facilite la procédure de divorce.

Conclusion : Le divorce respecte une procédure spécifique et produit des effets particuliers de sorte qu’il possède de nombreux aspects ouverts à la discussion et sujets aux réformes législatives et jurisprudentielles.

Sources : -    www.dalloz.fr -    www.justice.fr -    www.unjf.fr

Besoin d'un tuteur ? Nous pouvons vous aider !

Documents conseillés, articles liés.

5 idées de sujets de mémoire sur l'indivision

5 idées de sujets de mémoire sur l'indivision

CRFPA : Préparation à l'épreuve de droit des obligations (sujet 2023)

CRFPA : Préparation à l'épreuve de droit des obligations...

CRFPA : Préparation à l'épreuve de Procédure administrative et contentieuse (sujet 2023)

CRFPA : Préparation à l'épreuve de Procédure...

Articles récents

La protection des droits des civils en période de conflits armés

La protection des droits des civils en période de...

COMMENTS

  1. TD DF 3

    On peut noter quelque exemples: le mariage doit être célébré publiquement en présence d'au moins deux témoins majeurs, les époux doivent fournir un certain nombre de documents à la mairie, respecter un délai de publication des bans et un délai de réflexion de 10 jours qui en découle, sans oublier l'autorisation de leurs parents ...

  2. Exemples de sujets de dissertation en droit de la famille L1 L2

    Exemples de thèmes pour une dissertation en droit de la famille L1 L2 : la communauté de vie des époux, les nullités absolues et relatives du mariage, etc.

  3. Phrases d'accroche pour une dissertation en droit de la famille

    • Le mariage est très certainement considéré comme le point culminant de la vie de couple sur le point juridique puisqu'il constitue un acte solennel laïc et républicain par lequel deux personnes s'engagent à vivre ensemble durablement et conformément aux dispositions impératives de la loi.

  4. Dissert mariage pdf

    fiche de révisions des articles a connaitre. Dissertation sur le mariage en 1804, portalis, des auteurs du code civil, dé nissait le mariage comme un contrat perpétuel par sa destination il pas de réelle.

  5. Dissertation sur la formation du mariage

    Dissertation sur la formation du mariage. D'après un proverbe arabe, il n'y a de mariage heureux que par consentement mutuel. La vie n'est pas un long fleuve tranquille, le droit de la famille non plus. Si l'on remontait le cours de l'histoire, on se rendrait compte que l'évolution de ce droit n'a jamais été linéaire.

  6. Exemple de dissertation juridique rédigée

    Vous trouverez ci-dessous un exemple de dissertation juridique pour le sujet suivant : « Chacun a droit au respect de sa vie privée ». Le but est de vous aider à comprendre à quoi doit ressembler une dissertation juridique et comment il faut rédiger sa dissertation.

  7. PDF PROGRAMME DIFFÉRENTES ÉPREUVES Les CORRIGÉS CONFORMES TD EXAMEN FINAL

    Il s'agit de réaliser la dissertation suivante : Le consentement à mariage. Indications générales - Le sujet est classique, c'est pourquoi, l'ensemble des connaissances de cours doit être restitué.

  8. Exemple de dissertation juridique corrigée

    Vous trouverez dans cet article un exemple de dissertation juridique intégralement rédigée. Il s'agit d'un sujet dont j'ai dû faire la correction en séance de travaux dirigés de droit civil (droit des personnes) avec les étudiants de première année de droit.

  9. La nature juridique du mariage

    Le droit français ne connaît pas le mariage des personnes de même sexe. Au sens juridique du terme, le mariage est un acte juridique, né de l'accord de deux volontés, qui crée des obligations, et un lien de droit entre les contractants.

  10. Dissertation juridique

    Table des matières. Une dissertation juridique, qu'est-ce que c'est ? La méthodologie d'une dissertation de droit. Le plan d'une dissertation juridique. L'introduction d'une dissertation juridique. Exemples de dissertations juridiques. Faire corriger et relire votre dissertation juridique ? Une dissertation juridique, qu'est-ce que c'est ?

  11. Les conditions du mariage Fiches/Cours

    Le mariage peut être défini comme « l'union d'un homme et d'une femme résultant d'un accord de leurs volontés donné selon des formes solennelles et dont les conséquences sont impérativement fixées par la loi » (Goubeaux et Voirin). La nature juridique du mariage est donc complexe.

  12. Dissertation droit de la famille

    Dissertation en droit de la famille Sujet : Les obligations patrimoniales des époux Le mariage est très certainement considéré comme le point culminant de la vie de couple sur le point juridique puisqu'il constitue un acte solennel laïc et républicain par lequel deux personnes s'engagent à vivre ensemble durablement et conformément ...

  13. Le mariage: un contrat ou une institution?

    Concernant le mariage. Le dictionnaire Larousse définit le mariage comme étant un acte solennel par lequel un homme et une femme, ou deux personnes de même sexe établissent entre eux une union dont les conditions, les effets et la dissolution sont régis par le code civil. La doctrine propose de nombreuses définitions.

  14. Le régime juridique du contrat de mariage

    Dissertation de 6 pages en droit de la famille publié le 13 octobre 2014 : Le régime juridique du contrat de mariage. Ce document a été mis à jour le 13/10/2014

  15. Dissertation sur le mariage

    Selon cette Haute juridiction, « le mariage est l'union d'un homme et d'une femme ; que ce principe n'est contredit par aucune des dispositions de la Convention européenne des droits de l'homme et de la Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne qui n'a pas en France de force obligatoire. » Le mariage homosexuel a ...

  16. Exemple de dissertation juridique

    Exemple 1 de dissertation juridique. Sujet : « La spécificité du droit administratif. » Cet exemple de dissertation juridique porte sur le droit administratif et a été problématisée autour de la question « en quoi le droit administratif, domaine du droit public, se distingue-t-il de manière originale des autres catégories ...

  17. Dissertation droit civil

    Les conditions de fond du mariage au XXIe siècle. Le mariage est un acte juridique qui crée le statut de mari et femme (acte de mariage) et implique des accords testamentaires. Le mariage est également une situation juridique dans laquelle l'union d'un homme et d'une femme est conclue dans la forme prescrite par la loi.

  18. Mariage et libertés: Etude comparative en droit français et libanais

    Au centre de la famille, se trouve le mariage. C'est l'acte fondamental qui crée le foyer et perpétue la souche. Tout le droit de la famille a longtemps été ordonné autour de lui Le3. mariage a une importance toute particulière. Il est l'udes plus vieilles institune ns tio fondatrices de la famille. Il fait partie des plus anciennes ...

  19. Dissertation sur le consentement au mariage

    Le consentement au mariage « Il n'y a pas de mariage lorsqu'il n'y a point de consentement »-Article 146 du Code Civil. Dés lors, pour pouvoir se marier les futurs époux doivent donc consentir tous les deux au mariage. Le mariage civil est une forme de mariage dans lequel une autorité publique reconnait la validité de l'union. Il ...

  20. Le consentement au mariage

    Il a fallu renforcer les règles juridiques régissant le mariage. Sommaire. Les principes relatifs au consentement essentiels pour le législateur et la jurisprudence. L'existence d'un consentement comme principe primaire. Un consentement reposant sur diverses caractéristiques. Des droits et des devoirs importants suite au consentement.

  21. Mariage : conditions, démarches et dossier

    Le mariage civil en France implique de remplir certaines conditions et de s'atteler à des démarches administratives incontournables. Qui a le droit de se marier sur le territoire français ...

  22. Doc Du Juriste sur le thème contrat de mariage

    Documents sur le thème juridique contrat de mariage : tous les dissertation, cas pratique, note de synthèse disponibles sur Doc du Juriste

  23. Dissertation SUR LE PACS EN Droit DE LA Famille

    DISSERTATION SUR LE PACS EN DROIT DE LA FAMILLE. Exemple de plan : I) Le PACS : un contrat original distinct du mariage A. Théorie contractuelle : une grande liberté des partenaires pour pallier au déclin d&#039;un mariage trop lourd B. Volonté du législateur de distinguer le PACS du mariage II) Le PACS établi sur le modèle du mariage A ...

  24. Phrases d'accroche pour une dissertation sur le divorce

    II) Phrases d'accroche pour une dissertation sur le divorce pour faute. 1 : Alors que les mœurs ont évolué de sorte que la fidélité a perdu de son importance, le divorce pour faute subsiste toujours dans la législation française et est un divorce emblématique parmi les divorces contentieux.