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Le bonheur - dissertations de philosophie

  • Dépend-il de nous d'être heureux ?
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Philosophie: Une société sans conflits est-elle concevable ? (dissertation)

Dissertation : L'argent fait-il le bonheur ?

Publié le 30/05/2023

Extrait du document

« Dissert philo « l’argent fait-il le bonheur » L'argent est souvent considéré comme un facteur clé du bonheur, mais cette relation est-elle vraiment si simple ? Pour répondre à cette question, il est nécessaire de prendre en compte les différents aspects de la richesse matérielle et de ses conséquences sur la vie des individus. L’argent dans cette société capitaliste prend un rôle très important dans la vie de chacun. Par "argent", nous entendons les ressources financières et matérielles dont dispose une personne. Elle fait souvent écho avec la réussite, la prospérité et l’aisance de vie. Ce que nous cherchons à comprendre, c’est si l’argent permet d’accéder au bonheur. Le "bonheur", il peut être défini comme un état émotionnel agréable caractérisé par la satisfaction, la joie et la réalisation de ses désirs. C’est selon certains philosophe le but ultime de toute vie humaine. En effet, chaque action réalisée serait dans la mesure finale d’atteindre un état bonheur. Cependant, il y’a plusieurs niveaux de bonheur à nuancer. Le bonheur sur le long terme qui n’est pratiquement pas accessible, et les pics de bonheurs qui représentent un moment de joie et de plaisir intense. Ce qui nous amène à nous demande si l’argent est-il nécessairement le facteur clé du bonheur. Dans cette dissertation nous examinerons d’abord la relation entre l’argent et le bonheur. Puis nous nous pencherons sur l’existence d’une potentielle source de malheur amené par l’argent. Enfin, nous verrons que la fonction de l’argent n’est pas directement attribué au bonheur mais à la réalisation ainsi que l’accomplissement de soi. L'argent est un thème central dans nos vies, tant sur le plan économique que personnel. Il est souvent considéré comme un moyen d'atteindre le bonheur. D’un point de vue physiologique, il est indéniable que l’argent permet de répondre à des besoins physiologiques tels que se nourrir, se loger ou se vêtir. Cela relève de la fonction primaire de l’argent, ces besoins sont essentiels à notre vie sinon on ne pourrait vivre. Et répondre à ces besoins permet dans un certain sens d’obtenir du bonheur. Comme le dit Albert Hirschman « Chaque fois que j’ai faim, je prends un plaisir authentique, et indéfiniment renouvelable, à remplir mon estomac… ». En effet, chaque humain ressent du plaisir de se nourrir à chaque fois qu’il a faim et c’est un plaisir qu’on ne peut épuiser car on doit se nourrir tous les jours. Cela rejoint l’avis de Fabien Trécourt « l’acquisition d’une voiture augmentera durablement le bonheur d’un individu si celle-ci offre une mobilité dont il était dépourvu jusque-là ». On comprend donc, que l’argent répond au bonheur lorsque l’utilisation de celui-ci permet de répondre à un réel besoin. D'un point de vue matérialiste, il est évident que l'argent permet d'acheter des biens et des services qui peuvent améliorer notre qualité de vie. Posséder une belle maison, une voiture confortable, ou partir en vacances dans des endroits paradisiaques sont autant de possibilités offertes par l'argent qui peuvent contribuer à notre bien-être. En outre, l'argent peut être perçu comme un moyen de sécurité et de stabilité financière, permettant d'avoir moins de soucis liés aux difficultés économiques. Également, l’argent définit le statut social et l’image d’une personne. Plus une personne est riche, plus elle sera respectée, mieux traité. De plus, certaines études ont montré qu'il existe un lien entre argent et bonheur, du moins jusqu'à un certain point. En effet, une augmentation de revenus peut améliorer notre satisfaction de vie jusqu'à un certain seuil, mais au-delà de ce seuil, cette relation ne se vérifie plus. Notamment avec l’étude de Richard Easterlin, un article de Libération qui traite de ce paradoxe dit « les habitants d’un pays ont tendance à être heureux lorsque la richesse augmente jusqu’à un certain point. Cela suggère que l'argent peut avoir un effet positif sur le bonheur dans une certaine mesure. De surcroît, posséder plus d’argent permet d’en donner à autrui. Cela permet d’améliorer son image et faire plaisir à une tierce personne contribue à notre propre bonheur, comme le dit Trécourt « le don ou le mécénat sont des shoots de bonheur sans commune avec d’autre pratiques ». Cela renforce l’estime de soi, le sentiment d’être autonome, d’avoir une place supérieure et un impact sur le monde. Cependant, cette vision matérialiste de l'argent comme source de bonheur est contestée par de nombreux facteurs.

Malgré l'importance de l'argent dans notre vie quotidienne, certains pensent que sa relation avec le bonheur est illusoire. En effet, la possession de biens matériels ne garantit pas toujours un bonheur durable et peut même avoir des effets négatifs sur notre bien-être. De plus, la richesse ne corrèle pas forcément avec le bonheur. Une étude avec le IPH (indice de planète heureuse) nous démontre que les pays les plus riches n’ont pas nécessairement les populations les plus heureuses. En effet, le Costa Rica qui a un PIB par habitant bien inférieur comparé à des pays tels que la Suisse, la France, a pourtant un IPH bien plus élevé elle est classé première dans le monde. Suivi par le Mexique qui possède un PIB par habitant faible également par rapport aux pays dits riche. Comme le dis Easterlin « une hausse du PIB n’implique pas nécessairement une hausse du bien-être ressenti par les individus ». Cela s’explique d’ailleurs par le fait que l’homme s’habitue à tout. Également, l'argent ne peut pas réellement tout acheter. Il y a des choses qui contribue au bonheur qu’on ne peut pas acheter comme la famille, de vraies amitiés. En outre, l'argent peut conduire à un sentiment de vide et d'insatisfaction. Les biens matériels ne sont souvent qu'un substitut temporaire au bonheur, car leur possession ne procure qu'une satisfaction éphémère. Les personnes qui recherchent constamment de nouveaux achats pour combler ce vide risquent de ne jamais être satisfaites, car leurs désirs seront toujours insatiables. Après avoir examiné les arguments pour et contre le lien entre l'argent et le bonheur, il est temps de se pencher sur les conséquences négatives que l'argent peut avoir sur le bien-être humain. L'argent peut également être perçu comme source de malheur. En effet, la richesse peut engendrer des dangers et des inégalités sociales qui peuvent conduire à l'insatisfaction, voire au malheur. La richesse peut amener certaines personnes à développer des comportements addictifs, tels que l'achat compulsif ou la consommation excessive d'alcool ou de drogues, qui peuvent entraîner des problèmes de santé et une détérioration des relations sociales. Par ailleurs, lorsqu’on amasse une quantité grandissante d’argent, cela devient une véritable course à l’argent. On n’en a jamais assez, c’est ce pourquoi en se comparant davantage avec autrui et la richesse future atteignable on ne se sent jamais assez heureux. Selon l’article de Fabien Trécourt « Quand nos revenus croissent, nos aspirations salariales augmentent aussi. Si bien qu’on se retrouve toujours à courir derrière un meilleur salaire ». Cette idée consolide le fait qu’on n’a jamais assez d’argent. Et lorsque que cela devient une addiction il est indéniable que cela impacte notre santé et notre bien-être. Easterlin affirme également « toute richesse, tout progrès est relatif, et se dissout vite dans la comparaison à autrui ». Cette comparaison à autrui est nocive pour l’humain. De plus, cette quête d’argent peut être source d'angoisse et de stress, et peut empêcher la personne de profiter pleinement des plaisirs simples de la vie. Également, l’acquisition d’une grande somme d’argent peut impacter notre personnalité, modifier notre sympathie ou encore notre comportement envers autrui. Ce changement peut provoquer l’irritations chez les personnes, leur haine et leur envie. Cela peut aussi influencer notre vision et nos actes, les personnes extrêmement riches peuvent se croire tout permit. Ils pensent pouvoir tout acheter et qu’ils contrôlent tout. Cependant ce n’est pas factuel on ne peut tout acheter comme vu précédemment. Ce gros changement peut bloquer l’accès au bonheur et au bien-être par des états d’esprit pauvre malgré leur richesse matérielle. Karl Marx critique d’ailleurs cette idée en utilisant l’ironie « l’argent, du fait qu’il possède la qualité de tout acheter et de s’approprier tous les objets, est l’objet dont la possession est la plus éminente de toutes ». Ici il critique l’idée de penser que l’argent permet de tout obtenir en faisant l’éloge de l’argent ironiquement. Il dit encore « moi qui par l’argent peut avoir tout ce que désire un cœur humain, ne suis-je pas en possession de tous les pouvoirs humains ? ». Il se moquer ici de cette vision controversée qu’ont les personnes très riches.... »

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Les défauts principaux de vos devoirs :

- pas d'analyse détaillée de l'énoncé dans l'introduction

- certains ne démontrent une thèse qu'en référant à un exemple

- quand vous vous rapportez à des thèses d'auteurs, surtout si ces auteurs ont été vus en cours, vous ne les citez pas : il faut pourtant le faire !

Analyse de l’énoncé

Peut-on : a) a-t-on la capacité (est-ce possible, ou bien est-ce une contradiction) ; b) a-t-on le droit ; est-ce un devoir. NB : la question « peut-on » sous-entend, ici, que l’opinion commune croit qu’il est possible de … et que c’est peut-être en fait impossible, contradictoire.

On : l’homme ? l’individu concret ? l’Etat ?

Vouloir : désirer, se donner comme but

Bonheur : a) bien-être, satisfaction, plaisir ; b) état de satisfaction totale ; c) but que poursuivent tous les hommes comme souverain bien

Autres : a) les hommes en général ; b) le prochain ; c) le proche (l’ami, le parent, l’amant…)

Introduction

Le bonheur, état de plénitude, de satisfaction totale, est la fin ultime à laquelle tend tout individu humain. Nous n’agissons que pour cela : être heureux. Il semblerait même aujourd’hui que l’Etat, la société, les « autres » en général, nous doivent le bonheur : ne réclame-t-on pas sans cesse contre les lois positives le « droit au bonheur », déclaré explicitement dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen comme étant un droit imprescriptible de l’humanité ? La vie en société ne semble être harmonieuse que si elle respecte cette fin fondamentale dans la vie de tout homme, et donc, que si chacun œuvre non seulement pour son propre bonheur mais aussi pour celui des autres. Pourtant, est-ce possible de vouloir le bonheur des autres, si le bonheur est un sentiment de bien-être total ? Avons-nous la capacité de partager les sentiments des autres et de ressentir exactement la même chose qu’eux ? Avons-nous la capacité de nous donner comme but un intérêt autre que le nôtre ou que celui de nos plus proches (frère, père, amant, ami, etc.) ? Et, dès lors, est-il même permis de vouloir le bonheur des autres ? Ne serait-ce pas vouloir leur imposer une vision du bonheur, vouloir régenter leur vie et les priver de liberté ? Enfin, est-ce qu’un bonheur collectif est une notion qui peut recevoir un sens objectif, c’est-à-dire, est-ce que le bonheur peut être susceptible d’un accord entre les hommes ? A quelles conditions cette notion peut-elle être pertinente et permettre à la volonté du bonheur des autres de recevoir elle-même un sens ?

I- Le devoir de bienveillance : bienveillance réelle ou illusoire ? (les « ruses » de la morale…)

II- Le droit au bonheur, une contradiction dans les termes : la subjectivité du bonheur (le devoir de bienveillance suspecté de totalitarisme…)

III- Les dangers de l’individualisme exacerbé de la thèse II : le bonheur n’est-il pas ce qui est bien pour l’homme ? (les conditions minimales du bonheur = objectivité du bonheur)

Première partie

On a toujours loué la charité, la bienveillance, comme étant des vertus, des actions bonnes. Du Bon Samaritain à Mère Térésa et aux associations caritatives, faire le bonheur des autres (les autres étant tous les hommes, tous les représentants de l’humanité) semble être le comble de l’action morale, et même son fondement. Cf. « il ne faut pas tuer ton prochain » ou, pour reprendre la formule plus positive de Kant, « agis toujours de telle sorte que tu traites toujours autrui en même temps comme une fin et jamais seulement comme un moyen ». L’autre homme, celui qui partage avec moi l’humanité, est ici érigé en finalité ultime de mon action, et ne pas attenter à sa vie, à sa personne, est non seulement une vertu, mais encore et surtout un devoir, une obligation morale. Il ne s’agit pas ici à proprement parler de vouloir le bonheur des autres, mais ne pas attenter à la vie ou à la personne d’autrui étant le fondement de notre morale, on comprend alors pourquoi la bienveillance (ou vouloir le bonheur des autres) peut être considérée par nous comme louable et même comme un devoir.

Pourtant, est-il vraiment possible de vouloir le bonheur des autres ?

Rappelons ce qu’est la bienveillance. La bienveillance, c’est d’abord l’acte de tendre vers ce qui, pour l’autre, est le bien (= bonheur, développement de sa personnalité), sans que ce bien coïncide nécessairement avec ce que l’acteur considère comme tel pour sa propre vie. C’est aussi se réjouir de la félicité, de la joie, du bonheur, de l’autre, et s’affliger de sa tristesse.

Or, un tel sentiment est-il possible ? Puis-je vraiment vouloir le bonheur des autres, si pour cela il faut être capable de vouloir pour quelqu’un d’autre ce que je ne veux peut-être pas pour moi, ou presque même vouloir à la place de quelqu’un d’autre que je ne connais pas personnellement ? Le problème qui se pose ici est double : 1) il s’agit d’abord de savoir s’il est possible de communiquer avec autrui, de partager ses sentiments ; 2) et ensuite, de savoir si on a la capacité de ne pas prendre en compte seulement son intérêt, de faire abstraction de soi.

Si je peux bien souffrir devant le malheur des autres, me réjouir devant sa joie, son bonheur, ce sentiment de souffrance ou de joie sera toujours le mien, jamais celui d’autrui. Je ne peux pas ressentir un sentiment que l’autre ressent, c’est ce qu’on peut appeler l’irréductibilité de la subjectivité : chacun ressent le monde à sa façon, et aucune conscience ne peut prendre la place d’une autre conscience. Je ne peux donc pas vouloir à proprement parler le bonheur des autres, surtout si ces autres ne sont que des « autres hommes », et pas mon ami, mon frère, mon fils, etc. Le bonheur en effet est de l’ordre du sentiment et est donc quelque chose de ressenti subjectivement. Je ne peux vouloir au sens de désirer, que mon bonheur personnel, pas celui des autres.

On répondra que pourtant, la morale repose précisément sur le postulat que l’homme a la capacité de faire abstraction de soi-même, de ne pas prendre en compte seulement son intérêt. Cf. la raison, faculté de l’universel, grâce à laquelle nous pouvons nous dégager de nos désirs et instincts premiers.

Mais ne peut-on pas douter de la capacité de l’homme à vraiment se détacher de son intérêt personnel ? Comment agir sans motif personnel ? Certes Kant a démontré que cela était possible à l’homme, mais pourtant, on peut toujours soupçonner que ce qui semble être fait par devoir n’est au fond fait que par inclination, par intérêt ! Cf. sauver quelqu’un qui se noie : peut-être est-ce fait par désir de succès, par peur d’être accusé de non assistance à personne en danger, etc.

On pourra encore nous répondre que ce qui est important, ce n’est au bout du compte pas qu’on veuille le bonheur des autres au sens où on pourrait le désirer (pour lui comme pour soi), mais que les hommes ne se fassent pas tort mutuellement, et fassent le bien les uns des autres. Même si c’est pour leur propre bien à eux, le résultat sera le même : il y aura plus d’heureux que de malheureux, et ce sera pour le bien de la communauté Cf. but du devoir de bienveillance chez Kant : celui qui n’est pas heureux peut trouver dans son malheur une tentation et une raison d’enfreindre son devoir : il faut donc vouloir le bonheur des autres car c’est une condition de la vie pacifique ; cela permet en effet d’éviter les conflits entre les hommes. Etre bienveillant est un devoir qui a une nécessité sociale, et donc, peu importe que qu’il ne soit pas accompli par intention de faire le bien et uniquement le bien ; l’important c’est qu’on le fasse… (cf. distinction droit et morale)

Là où les individus font défaut en ce qui concerne la bienveillance, la collectivité, l’Etat, le droit, prennent donc le relais. Cf. aujourd’hui le « droit au bonheur » inscrit dans les droits de l’homme (déjà signalé dans l’introduction). Cela signifie qu’il est pratiquement devenu une loi positive, qui est assortie de sanction possible pour celui qui ne le respecterait pas.

Deuxième partie

Problème : le bonheur n’est-il pas subjectif, c’est-à-dire personnel, propre à chacun ? L’Etat a-t-il le droit de légiférer en ce domaine ? N’est-ce pas une contradiction dans les termes ?

Qu’est-ce en effet que le bonheur ? Nous en avons parlé, ci-dessus, de façon très vague. Le bonheur c’est le « bien » de l’individu. Nous en avons également parlé comme d’un sentiment, comme d’un état subjectif de l’individu (le bonheur, c’est le sentiment de bien-être total, c’est se sentir bien, dans son corps comme dans sa peau…). Ce que nous n’avons pas vu, c’est que, à partir du moment où le bonheur est quelque chose de subjectif, c’est la question même, finalement, de savoir s’il faut vouloir le bonheur des autres, qui pose problème.

Que veut en effet dire précisément la thèse selon laquelle le bonheur est quelque chose de subjectif ?Elle signifie que rien n’est plus personnel que le bonheur. Chacun a une vision personnelle du bonheur, qui dépend de son milieu social, culturel, etc. Le contenu du bonheur est différent non seulement d’un individu à l’autre, mais encore, change au cours de la vie d’un individu. Différent d’un individu à l’autre : pour l’un, le bonheur résidera dans la possession matérielle de biens, pour l’autre, dans la lecture, pour l’autre encore, dans la possession d’une belle voiture, etc. Au cours de la vie d’un individu : selon les expériences qu’on va faire dans la vie, notre « vision » du bonheur changera… Cela signifie aussi l’incertitude du bonheur : son contenu est indéterminé, nul ne sait jamais avec certitude en quoi il réside (son caractère indéterminé vient justement d’une impossibilité à s’accorder sur le contenu du bonheur, que ce soit entre nous ou bien avec soi-même).

Il est donc faux de dire que vouloir le bonheur des autres est un devoir au sens où cela profiterait à la société et en serait même la condition de possibilité. Cf. texte de Kant (bonheur versus liberté).

La société a en effet pour origine, comme on peut le voir dans le Léviathan de Hobbes, le désir (aidé de la raison) d’échapper aux conflits en luttant contre l’individualité. C’est en effet le droit naturel (entendu comme droit d’exercer sa puissance comme on l’entend) de juger de ce qui est bien et mal pour satisfaire ses désirs et son désir ultime ( = rester en vie pour satisfaire ses désirs le plus longtemps possible), qui, à l’état de nature (état hypothétique dans lequel on vivrait sans lois positives, et sans but commun), mène les hommes à se battre et même à s’entre-tuer. Mais aucune société ne peut reposer alors sur ce qui est le plus personnel en chacun ! Nous avons besoin d’un but commun si on veut cesser de s’entre-tuer, et la notion de bonheur ne permet nullement de s’accorder sur quelque but que ce soit. Il ne faut donc surtout pas se donner comme but, en société, de vouloir le bonheur des autres car loin de créer la paix et l’harmonie entre les hommes, cela ne mènerait qu’à une série de conflits.

On peut se donner comme but la liberté des autres, pas à proprement parler le bonheur. On peut même soutenir que vouloir le bonheur des autres mènerait justement à la négation de nos libertés respectives. Vouloir le bonheur des autres, que l’agent de ce vouloir soit un individu, une association d’individus quelconques ou l’Etat, c’est au bout du compte prétendre régir la vie personnelle d’un individu à sa place. C’est la négation ultime de la liberté individuelle. On sait bien que c’est le but même du totalitarisme de vouloir régenter tous les domaines de la vie humaine, y compris ce qui relève de la pensée et même du sentiment (cf. 1984 ; Le meilleur des mondes…). Même sous couvert de vouloir vraiment le bien des autres hommes, la volonté de faire le bien des autres est toujours à suspecter. Elle mène trop souvent à vouloir imposer à quelqu’un de « différent » une vision du monde, un système de valeurs (cf. les guerres de religion, la chasse aux sorcières, et le terrorisme). Mis au service d’une vision politique, le bonheur n’est qu’un instrument de tueries !

C’est l’idée même de bonheur collectif qui est ici mise à mal… elle est contradictoire, et il n’est donc finalement ni possible ni permis de vouloir le bonheur des autres.

Troisième partie

Problème : le bonheur est-il si inconstant et si subjectif que ça ? ne peut-on s’accorder sur les conditions minimales du bonheur ?

Le bonheur est-il vraiment la même chose que le bien-être ? Est-ce seulement se sentir bien dans sa tête et dans sa peau, et surtout, est-il vraiment si subjectif que ça, c’est-à-dire, changeant d’un individu à l’autre et même dans un même individu au cours de sa vie ? N’y a-t-il vraiment aucun contenu précis du bonheur ?

Si certes on a bien du mal à donner un contenu déterminé au bonheur, on peut au moins dire en quoi il ne consiste pas ! Et justement, le bonheur n’est pas synonyme de bien-être, de satisfaction des désirs, mais il est avant tout un état de plénitude (cf. l’expression « être comblé »). Le bonheur ne peut donc consister dans les désirs sans cesse changeants d’un individu, il est au contraire au-delà de tout désir, dont le propre est d’être toujours en mouvement, de toujours « tendre vers », et donc, qui est un état de manque. On est heureux ou on ne l’est pas, point, et on peut à la limite savoir si on est heureux seulement au moment de la mort, quand on peut avoir un regard rétrospectif sur toute sa vie. Le bonheur est un état de repos. C’est, avons-nous dit, l’état auquel toutes les activités humaines tendent. Le bonheur est une fin en soi, le « souverain bien ».

Cf. Aristote, Ethique à Nicomaque , livre I. Le bonheur est la fin dernière de l’homme, c’est-à-dire, de tout être humain, doué d’humanité. S’accomplir, se réaliser, s’épanouir, c’est avant tout réaliser son humanité. Or, qu’est-ce qui caractérise l’homme ? Ce ne sont pas ses désirs ou instincts mais sa raison, son esprit. Ainsi, le bonheur réside dans le développement de la raison. Il n’est pas propre à un individu mais à tout homme.

Or, savoir ce qui réalise l’humanité, savoir comment épanouir notre humanité, n’est-ce pas le but des droits de l’homme, au rang desquels nous avons justement trouvé, comme nous l’avons dit ci-dessus, le droit au bonheur ? Cette déclaration des droits de l’homme n’édicte-t-elle donc pas finalement les conditions minimales du bonheur, qui sont les mêmes chez tout individu humain doué d’un esprit et d’une raison ? Cf. droit au travail, droit l’éducation, à la culture, etc.

Ainsi est-il finalement possible de s’accorder sur les conditions minimales du bonheur, puisque celui-ci n’est pas subjectif mais objectif… Conditions minimales qui semblent bien être les conditions minimales de la liberté. En ce sens, il paraît finalement légitime de demander à l’Etat, garant de nos libertés, d’assurer ces conditions minimales du bonheur. Et de demander aux autres hommes, non qu’ils veuillent à proprement parler notre bien mais qu’ils ne fassent rien qui aille contre lui, qu’ils respectent notre désir de vouloir être heureux…. Et cela est possible puisque l’autre c’est l’autre homme, qui est semblable à moi en ce qu’il possède la raison.

Si donc il nous a d’abord semblé évident de considérer la volonté du bonheur des autres comme un devoir moral, nous avons finalement vu à quel point désirer le bonheur des autres est un idéal difficile voire impossible à réaliser (car cela suppose une faculté d’empathie impossible). Il ne nous a même pas semblé moral de le vouloir, car ce serait vouloir imposer une vision du monde personnelle aux autres (le bonheur n’est-il pas, en effet, ce qu’il y a de plus subjectif ? ). Cependant, il nous a semblé finalement légitime et même obligatoire de le vouloir, mais à condition de rappeler que le bonheur n’est pas vraiment si subjectif, si personnel, que ce que nous avions supposé…

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Quels sont les nombreux sujets de baccalauréat portant sur la notion de travail ?

Par Olivier

Rédigé le 7 November 2022

8 minutes de lecture

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  • 01. La notion de travail en philosophie
  • 02. La définition du travail : pas uniquement un outil de rémunération
  • 03. L'influence du travail sur l'Homme
  • 04. Le travail : outil pour casser ses chaînes
  • 05. Le travail, un barreau de plus à la prison de la vie
  • 06. Exemples de sujets de dissertation

Chrys

La notion de travail en philosophie

Le travail est vu comme une nécessité dans nos sociétés modernes. Son utilité est toute trouvée : il apporte l'indépendance financière en nous donnant un salaire. Il est donc source de liberté.

Une fois l'aspet financier écarté, le travail reste néanmoins une corvée vécue comme une contrainte, voir parfois même une dépendance. Dans ce cas, le travail peut être abordé comme une privation de liberté.

Enfin, le travail a un rôle social dans le développement de l'Homme et lui permet aussi de contrôler les éléments, la nature, de gagner en connaissances scientifiques.

La question principale autour de la notion de travail est donc de débattre de son rôle : libérateur ou au contraire, exerce-t-il une contrainte sur l'Homme ?

La définition du travail : pas uniquement un outil de rémunération

La première idée qui nous vient en tête quand on pense au travail, c'est sa rémunération. Or le travail rémunérateur n'est pas la seule forme de travail possible. Pour cause, on peut s'inverstire dans du travail intellectuel en apprenant ou en s'enteaînant, perfectionnant sa technique. Il est aussi possible de s'adonner à du travail domestique tel que du bricolage, de la mécanique.

La définition philosophique du travail est la transformation de la nature afin de satisfaire nos besoins. Cette transformation intervient en créant des produits, des villes, des outils, des moyens de transports. Grâce à lui nous modifions notre habitat, nos conditions de vie. Le travail serait donc l'opposition à l'inaction, au jeu.

Deux visions s'opposent donc sur le travail : la vision rémunératrice qui va de paire avec l'idée productive et enfin le travail sous forme d'effort pour créer, apprendre, réfléchir. Parmi les formes de travail non rémunérateurs on retrouve les études avec les recherches, les rédactions d'écrits comme les articles ou encore la résolution de problèmes. Mais aussi le travail sportif qui va vous permettre de vous améliorer dans une discipline donnée par le biais d'entraînements physiques et moraux. On retrouve aussi le travail créatif qui consiste principalement en des activitées artistiques avec le dessin, la peinture, la sculpture, la composition. Enfin, on retrouve le travail domestique et ménager : organiser sa maison, s'occuper des enfants, faire la cuisine, bricoler sa voiture, réparer un mur.

Cependant les formes de travail non rémunérateur que nous venons d'évoquer ne sont pas forcément perçues par la société comme une vraie forme de travail car elles n'apportent pas de rémunération. Pourtant, ce lien entre travail et argent est assez récent.

Le travail est-il dangereux ?

Les origines du mot travail remontent au latin tripalium, moyen de torture. Mais cette étymologie est de plus en plus controversée.

L'influence du travail sur l'Homme

Qu'il soit vécu comme une contrainte ou une dépendance, le travail a toujours un impact sur l'Homme. Cependant cet impact n'est pas uniquement mauvais, puisqu'il nous permet de nous insérer dans la société, d'intégrer le groupe. Le travail est aussi un moyen d'apprendre la vie.

Le travail : l'école de la vie obligatoire

Lorsqu'on remonte aux origines de l'humanité, le travail était obligatoire pour la survie : cueillir, chasser, faire du feu ou fabriquer des habits. Puis avec le temps, la société se modernisant et se hiérarchisant, un écart s'est creusé entre ceux qui travaillent et ceux pour qui quelqu'un travaille.

Le travail était équitablement partagé entre les hommes lorsqu'ils étaient tous égaux. C'est notamment le cas des hommes nomades qui vivaient en tribus. Tout le monde était dans la même situation : il devait survivre. Les différents membres se répartissaient naturellement les tâches selon leur capacités et non leurs volontés : celui qui court vite va à la chasse, le grand participe à la cueillette, le fort fabrique les armes. A cette époque, tout le monde sans exception travaillait et ne semblait pas vivre cela comme une contrainte. C'était aussi évident pour eux que de respirer.

Avec la modernisation et la sédentarisation, des guerres ont commencé à voir le jour entre les différentes tribus et l'esclavage est alors né. Les prisonniers de guerre étaient contraints de travailler en esclaves au service des vainqueurs. C'est alors que le travail vécu comme une contrainte est apparu.

Mais dès cette apparition du travail comme une obligation, les philosophes ont analysé que le travail apportait un bénéfice à celui qui le réalisait et ce bien plus qu'à celui qui le commandait. En effet, le travailleur gagne en éducation, en technique et en expérience. Pendant ce temps, le maître n'apprends pas et devient de plus en plus dépendant de celui qui travaille pour lui. Cette oisiveté peut même le conduire à sa perte : l'escalve fabricant alors les armes qui lui permetteront de reprendre le dessus sur son maître.

Le travail : moyen d'élévation moral

Certains philosophes considèrent que le travail est un devoir envers soi-même car il nous permet de se former moralement. C'est la cas de Kant. Son idée est que le travail permet de répondre au besoin de conscience morale et de fierté. C'est le travail qui nous différencie des animaux car ces derniers satisfont leurs besoins par le biais de l'instinc alors que nous le faisons par le travail.

C'est aussi l'avis de Freud qui dit qu'un homme a besoin du travail pour s'épanouir. Pas forcément le travail rémunérateur comme nous le connaissons mais toute forme de travail qui nous permet de nourrir notre nature sous forme d'effort moral.

Le travail : nécessaire à l'être social

Il s'agit d'un fait indéniable : le travail nous insère au sein de la société. Il nous sociabilise et apprends à vivre avec les autres. Nous forçant à communiquer, il nous forme à devenir un être social.

Le travail peut donc également être perçu comme un outil de sociabilisation. Le travail étant divisé entre les hommes, ces derniers doivent s'entraider, communiquer, collaborer pour le réaliser. Cettte division s'effectue soit entre le genre de travail (intellectuel ou manuel) ou soit en fonction du statut social (supérieurs hiérarchiques, managers ou employés). Par exemple le charpentier doit travailler avec l'architecte pour poser une toiture. Les interactions avec les autres nous permettent d'améliorer le langage, la communication et les rapports humains.

Le travail : outil pour casser ses chaînes

Comme nous l'avons vu précédemment, le travail a aidé l'Homme à se libérer des foudres de la nature, de s'intégrer à la société et enfin à augmenter ses compétences et connaissances. Que ce soit d'une manière intellectuelle en nous permettant de penser par nous même et nous élever ou d'une manière financière en nous permettant l'indépendance vis à vis des autres, il est indéniable que le travail est un outil de liberté.

Au fil du temps, le travail a en effet été de moins en moins contraignant. Au Moyen-Âge, les travailleurs étaient sous le régime du servage féodal, ce qui signifiait qu'il appartenaient au seigneur des terres sur lesquelles ils travaillaient. Avec l'arrivée du capitalisme, le travailleur a trouvé une certaine liberté, avec des droits, une rémunération et un encadrement (code du travail). Maintenant, c'est le travailleur qui propose ses compétences sur un marché. La concurrence dépend alors des autres travailleurs et des besoins de ceux qui les embauchent tandis qu'à l'époque, l'esclave était propriété de son maître.

Comment le travail nous libère-t-il ?

Pour finir, il existe d'autres formes de travail, notamment sur soi, qui permettent à l'Homme de se libérer. Cela peut être le cas par exmeple quand on réalise un travail de psychanalyse ou qu'on se pose des questions sur nos actes, nos pensées. Pour cause, ce travail sur soi nous aide à nous libérer, à évoluer et se sentir bien.

Le travail, un barreau de plus à la prison de la vie

Malgré les avantages listés précédemment, le travail reste un élément de douleur.

Dans la Bible, le travail est vu comme une punition à un péché. Pour rappel, Dieu a puni Adam et Eve car ces derniers n'ont pas respecté ses volontés. L'Histoire rappelle aussi que les pourfendeurs du travaillent libérateur ont parfois utilisé ces arguements pour asservir l'Homme comme cela a été le cas avec les régimes totalitaires nazis ou russes à l'époque de la Seconde Guerre mondiale. Prenons pour exemple le slogan cynique inscrit au dessus du porche d'entrée du camp de concentration de Dachau : " Arbeit macht frei ", le travail rend libre, en sachant que les hommes qui y entraient étaient asservis et enfins exterminés.

Qui était Stakhanov ?

L'acquisition de savoir par le biais du travail apparaît limitée selon le poste que l'on occupe. En effet, du travail ouvrier ou industriel, répétitif, semble plus abrutir la personne que l'aider à s'élever.

C'est cet exemple qui est repris dans le film Les Temps modernes de Charlie Chaplin : le travailleur est assimilé à une machine, répétant du matin au soir la même action, sans la moindre forme de réflexion.

Exemples de sujets de dissertation

Travailler rend-il libre ?

Le travail est-il aliénant ?

L'homme peut-il se contenter de travailler en vue du seul gain ?

Le travail peut-il être pour l'homme autre chose que le moyen de subvenir à ses besoins ?

Pourquoi parler du travail comme d'un droit ?

Faut-il renoncer à faire du travail une valeur ?

La liberté humaine est-elle limitée par la nécessité de travailler ?

Le travail contribue-t-il à unir les hommes ou à les diviser ?

Est-il toujours possible de faire la différence entre travail et divertissement ?

Le travail n'est-il pour l'homme qu'un moyen de subvenir à ses besoins ?

L'homme doit-il craindre que la machine travaille pour lui ?

L'inégale puissance de travail des hommes est-elle source d'injustice ?

Est-on moralement obligé de travailler ?

Le travail a-t-il une valeur morale ?

Gagne-t-on sa vie en travaillant ?

Travailler, est-ce seulement mettre en oeuvre une technique ?

Peut-on dire que "tout travaille à faire un homme en même temps qu'une chose" ?

Peut-on opposer le travail au loisir ?

Quel est le sens du travail ?

Y a-t-il un travail de l'artiste ?

Le travail permet-il à l'homme de devenir une personne ?

Comment s'intégrer par le travail ?

En quoi le travail est-il une nécessité ?

Travailler est-il un obstacle à la liberté ?

La nécessité du travail n'est-elle qu'une contrainte ?

Le travail fonde-t-il la propriété ?

L'organisation capitaliste du travail en change-t-elle le sens ?

Le travail permet-il à l'homme de s'accomplir ?

Travail et liberte sont-ils compatibles ?

Faut-il travailler pour être humain ?

Qu'est-ce qui a entraîné la division du travail ?

Est-ce la division du travail qui entraîne l'échange économique ?

Y a-t-il un juste principe de rétribution du travail ?

Le travail comme médiation ?

L’outil, le moyen de travail ?

Le travail comme activité consciente ?

Travail, besoin et désir de reconnaissance. Le « pourquoi » du travail ?

La division du travail. Le « comment » du travail ?

Qu’est-ce qui se joue pour l’homme dans le travail ?

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Le travail déshumanise- t-il l’homme ?

Le travail ennoblit l’homme, pour commenter cela

Clément

Voici un exemple de plan que vous pourriez suivre pour répondre au sujet “Le travail ennoblit l’Homme” :

1. Introduction – Présentation du thème du travail et de sa relation avec l’élévation de l’homme 2. Développement – Analyse des arguments en faveur de l’idée que le travail ennoblit l’homme – Exemples historiques et littéraires illustrant cette idée – Réflexion sur les valeurs et les compétences développées par le travail 3. Contre-argumentation – Examen des critiques et des limites de cette idée – Mise en évidence des effets négatifs potentiels du travail 4. Conclusion – Bilan des différents points de vue – Proposition d’une réflexion personnelle sur le sujet

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Justice Et Bonheur.

Par Pseudoop   •  31 Mars 2014  •  1 676 Mots (7 Pages)  •  4 929 Vues

L'Homme qui vit en société est soumis à un ordre juridique qu'il est prié de respecter sous peine de sanctions. Cet ordre juridique est censé garantir l'harmonie sociale et éviter la loi du plus fort, de telle sorte que les citoyens puissent vivre en paix. Or, l'Homme contrevient parfois à ces normes juridiques, il s'expose de jure à des sanctions, ce qui semble lui garantir la souffrance, et le priver de tout bonheur.

Aussi, l'Homme injuste peut-il être heureux ?

A priori, être injuste semble conduire au malheur du fait des remords que l'on peut ressentir en ayant porté atteinte aux normes juridiques du pays ou en ayant causé le malheur d'autrui. Et pourtant, parce que l'Homme est responsable de ses actes, parce qu'il a donc conscience de ses faits et gestes, l'injustice qu'il cause émane soit de ses désirs, soit d'une volonté raisonnée, préméditée, ce qui ne devrait donc que le satisfaire. En réalité, l'Homme injuste ne peut être condamné au malheur, car condamner un être à la souffrance perpétuelle, c'est condamner la rédemption des péchés, c'est donc être plus injuste que lui-même ne l'a sans doute jamais été. Il peut donc être heureux, s'il accepte l'amour des autres et de l'être transcendant qui l'a crée.

I] L'injustice et les remords en découlant : le malheur de l'être coupable

Si l'injustice commise par l'Homme fait émerger en lui des remords, alors il semble que l'être coupable ne puisse être heureux et soit condamné au malheur.

En effet, transgresser les lois, aller à l'encontre des intérêts d'autrui, prendre aux autres ce qui leur est dû, n'est-ce pas là une source deremords ? L'Homme injuste n'a-t-il pas conscience que les méfaits commis causent de la peine aux victimes ? L'être injuste est par définition celui qui n'agit pas selon la justice, c'est-à-dire celui qui contrevient au principe d'équité. Dans la société, chaque citoyen obtient ce qu'il mérite, ce qui est garanti par l'ordre juridique. Le locataire doit avoir l'assurance de l'inviolabilité de son logement, le salarié doit avoir l'assurance du versement légitime de son salaire, quant à l'acheteur, il doit être assuré de la qualité du produit acheté. De la même manière, dans la vie quotidienne, le citoyen est protégé par la loi des agressions, assuré du respect dû à sa personne. L'être qui contrevient à cette kyrielle de principes, parmi tant d'autres, parce qu'il est injuste, il aura des remords. Il a conscience du mal qu'il cause et en souffre. Le remords, c'est le sentiment moral douloureux, vif et obsédant, produit par la pensée d'être l'auteur d'une faute irrémédiable. Alors, cela semble le priver de bonheur, le condamner à la souffrance, parce qu'il a lui-même fait souffrir autrui.

Porter atteinte au principe d'équité, que ce soit devant la justice, devant la loi, etc., c'est oublier que la vie en société conduit à la responsabilité de ses actes, qu'en société le respect de la loi et des autres est une nécessité, et dont la dérive est sanctionnée . La sanction, le sentiment de culpabilité, le regard des autres, autant de faits qui contribuent à faire de l'Homme injuste un Homme malheureux duquel le bonheur est exclut. D'ailleurs, René Descartes, dans Les passions de l'âme, rappelle que « le remords de conscience est une espèce de tristesse qui vient du doute qu'on a qu'une chose qu'on fait ou qu'on a faite n'est pas bonne ». Cette tristesse que rappelle Descartes met en lumière le malheur de l'être injuste, de celui qui a conscience du tord causé à autrui et à la société tout entière par le fait même d'avoir contrevenu aux lois.

De ce fait, l'être injuste semble être condamné au malheur, rongé par le remords. Et pourtant, l'acte qu'il a commis n'était-il pas prémédité, ou tout du moins fondé ? En effet, considérer l'Homme comme responsable de ses actes, c'est supposer son libre-arbitre et sa capacité à agir sans être déterminé. Si l'Homme se veut être injuste, il le fait sans doute par nécessité, ou par plaisir.

II] L'Homme : un être libre de ses actes et aspirant au bonheur

Si l'Homme agit de façon libre et éclairée, alors il semble que ses actes – qu'ils soient injustes ou non – aillent dans son intérêt et contribuent à son bonheur.

En effet, l'Homme n'est-il pas prêt à sacrifier les intérêts d'autrui pour contribuer à son bonheur ? Quel être humain après tout voudrait son propre malheur ? De fait, l'Homme qui agit au détriment des intérêts d'autrui ne le fait non pas pour son propre malheur, mais pour être heureux, pour servir ses propres intérêts. Il agit ainsi car il en a besoin. L'être qui a faim et qui ne peut subvenir à ses besoins est sans doute prêt à voler des victuailles à un commerçant : certes il est injuste de par son vol, mais cela ne contribue t-il pas à son bonheur et à sa survie ? L'intérêt

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